Plus de discussions par facilitateurs américains interposés ou par échanges de messages WhatsApp, depuis deux ou trois jours, les experts congolais et rwandais sont face à face et discutent directement entre eux à Washington. Sur la table, un projet d'accord dont on vous a parlé en début de semaine, il s'agit d'un second draft proposé par les facilitateurs américains qui se sont basés sur les premières remontées en provenance des deux parties.
Dans un premier temps, les États-Unis pensaient arriver à un accord vers la mi-juin, mais « c'était l'objectif initial [...] il a fallu l'adapter à la réalité des négociations », a réagi hier sur X le ministre rwandais des Affaires étrangères, Olivier Nduhungirehe. Les experts de deux côtés sont désormais entrés dans le vif du sujet avec pour objectif, « de négocier un accord de paix global, réaliste et mutuellement bénéfique », ajoute Olivier Nduhungirehe sans plus de précision.
Les chefs de la diplomatie congolaise et rwandaise devraient se retrouver toujours à Washington, une fois un pré-accord trouvé entre les experts, avant un sommet qui réunira les présidents congolais et rwandais autour de Trump. Pas de calendrier rigoureux à suivre pour le moment donc, mais les Américains veulent aller vite, très vite. Ils espèrent y arriver au cours de juillet, explique une source américaine.
Et le ministre rwandais des Affaires étrangères Olivier Nduhungirehe a rappelé sur les réseaux sociaux qu'un accord n'interviendrait qu'une fois atteint un « accord de paix gagnant-gagnant », et qu'en attendant, les négociations se poursuivaient.
Dans un premier temps, les États-Unis pensaient arriver à un accord vers la mi-juin, mais « c'était l'objectif initial [...] il a fallu l'adapter à la réalité des négociations », a réagi hier sur X le ministre rwandais des Affaires étrangères, Olivier Nduhungirehe. Les experts de deux côtés sont désormais entrés dans le vif du sujet avec pour objectif, « de négocier un accord de paix global, réaliste et mutuellement bénéfique », ajoute Olivier Nduhungirehe sans plus de précision.
Les chefs de la diplomatie congolaise et rwandaise devraient se retrouver toujours à Washington, une fois un pré-accord trouvé entre les experts, avant un sommet qui réunira les présidents congolais et rwandais autour de Trump. Pas de calendrier rigoureux à suivre pour le moment donc, mais les Américains veulent aller vite, très vite. Ils espèrent y arriver au cours de juillet, explique une source américaine.
Et le ministre rwandais des Affaires étrangères Olivier Nduhungirehe a rappelé sur les réseaux sociaux qu'un accord n'interviendrait qu'une fois atteint un « accord de paix gagnant-gagnant », et qu'en attendant, les négociations se poursuivaient.
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