Depuis l’annonce par la coalition arabo-kurde soutenue par les Etats-Unis de son intention de lancer l’assaut final contre Baghouz, le 9 février, 15 000 civils ont évacué cette poche de 4 kilomètres carrés, selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme.
Rien que ces deux derniers jours, 3 600 civils et 470 combattants du groupe Etat islamique ont quitté ce réduit à l’est de l’Euphrate à bord de camions affrétés par les Forces démocratiques syriennes, les FDS.
Depuis le 1er décembre, 51 000 civils ont évacué le dernier territoire encore contrôlé par l’organisation extrémiste en Syrie. Malgré cela, un nombre indéterminé de combattants, dont des dizaines de hauts dirigeants de l’EI, refusent toujours de se retirer et affirment vouloir se battre jusqu’au bout. Des centaines de civils se trouvent avec eux, dans un vaste réseau de tunnels creusés sous la ville.
La présence de ces civils et le manque d’informations précises sur le nombre de combattants encore présents retardent l’assaut final des FDS.
Négociations toujours en cours
Les négociations indirectes se poursuivent avec la faction la plus extrémiste des jihadistes, qui comprend de nombreux étrangers, pour les convaincre de cesser le combat.
Selon des renseignements recueillis auprès de combattants qui se sont rendus ces derniers jours, les réserves en eau et en nourriture commencent à manquer à Baghouz. Cette pénurie pourrait pousser les jihadistes les plus déterminés à déposer les armes.
Rien que ces deux derniers jours, 3 600 civils et 470 combattants du groupe Etat islamique ont quitté ce réduit à l’est de l’Euphrate à bord de camions affrétés par les Forces démocratiques syriennes, les FDS.
Depuis le 1er décembre, 51 000 civils ont évacué le dernier territoire encore contrôlé par l’organisation extrémiste en Syrie.
La présence de ces civils et le manque d’informations précises sur le nombre de combattants encore présents retardent l’assaut final des FDS.
Négociations toujours en cours
Les négociations indirectes se poursuivent avec la faction la plus extrémiste des jihadistes, qui comprend de nombreux étrangers, pour les convaincre de cesser le combat.
Selon des renseignements recueillis auprès de combattants qui se sont rendus ces derniers jours, les réserves en eau et en nourriture commencent à manquer à Baghouz. Cette pénurie pourrait pousser les jihadistes les plus déterminés à déposer les armes.
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