La quête du bon goût et de la saveur culinaire incitent certaines femmes à acheter tout ce qui contribuera à rendre délicieux leur cuisine. En cette période de fête de Tabaski, le Nokoss en pot (marinade) est devenu le produit le plus prisé. La nouvelle tendance s’observe partout sur les réseaux sociaux où des annonces sur leur vente sont faites. Différents Nokoss sont proposées aux femmes sénégalaises qui en « raffolent ». Marinade méchoui, marinade barbecue, sauce verte… sont vendus à 5 000 FCFA le kilogramme. Même si c’est assez pratique d’en acheter d’autres femmes trouvent que c’est seulement par paresse, car c’est quelque chose que chaque femme doit préparer soi-même pour mieux veiller aux conditions hygiéniques.
Le Nokoss sénégalais traditionnel se faisait en pilant des ingrédients et épices qui donnent de la saveur à un plat dans un mortier pendant la préparation d’un repas. Les Nokoss en pot qui sont maintenant commercialisés sur les réseaux sociaux sont préparés dans des mixeurs et dont on ignore les vraies composantes et les conditions de production. Considéré comme la base aromatique de la cuisine sénégalaise, il se concocte au goût et existe en plusieurs saveurs. Ses composants de base sont : oignon vert, poivron, ail, piment vert goana, poivre, coriandre, 7épices, cumin, herbes de provence, Thym, Sel, huile d’olive. Conçu par des femmes et parfois par des hommes les Nokoss en pots sont adaptés à tout type de plats (viandes, poissons, poulet et accompagnements). Le mélange est habituellement mis dans des pots en verre ou dans des bocaux.
Le Nokoss sénégalais traditionnel se faisait en pilant des ingrédients et épices qui donnent de la saveur à un plat dans un mortier pendant la préparation d’un repas. Les Nokoss en pot qui sont maintenant commercialisés sur les réseaux sociaux sont préparés dans des mixeurs et dont on ignore les vraies composantes et les conditions de production. Considéré comme la base aromatique de la cuisine sénégalaise, il se concocte au goût et existe en plusieurs saveurs. Ses composants de base sont : oignon vert, poivron, ail, piment vert goana, poivre, coriandre, 7épices, cumin, herbes de provence, Thym, Sel, huile d’olive. Conçu par des femmes et parfois par des hommes les Nokoss en pots sont adaptés à tout type de plats (viandes, poissons, poulet et accompagnements). Le mélange est habituellement mis dans des pots en verre ou dans des bocaux.
"C'est plus pratique..."
Bigué Diop âgée de la trentaine, elle fait la vente de Nokoss en pot depuis maintenant 2 ans, explique le côté pratique de ces produits qui enlèvent le stress de certaines femmes. « Cela permet aux femmes qui travaillent et n’ont pas trop de temps pour aller au marché tout le temps afin d’acheter des condiments et vous optez pour une cuisine rapide, pratique et saine, nos nokoss sont déjà prêts pour tous les plats et marinades, sans produit chimique », a expliqué cette vendeuse de Nokoss résidant aux Parcelles Assainies. Poursuivant elle affirme que c’est un business qui marche bien, car ses clientes raffolent de ses produits et qu’elle est sollicitée par plusieurs grandes dames.
En effet, selon certaines femmes, les Nokoss en pots sont d’une grande aide. Étant très occupées par leur travail celles-ci sont devenues léser avec l’arrivée de ces produits prêts à l’emploi. Une véritable aubaine pour la dame Isseu Diakhaté dont le travail ne lui permet pas de faire le tour des marchés surtout en cette période.
« Le jour de la Tabaski, il y a beaucoup de chose à faire et je n’ai pas de bonne en cette période du coup je m’arrange comme je peux. Je descends tard la plupart du temps et mon mari est assez compréhensif. Donc, je commande plusieurs variétés de Nokoss que j’utilise pour l’assainissement de mes plats. Le jour J, cela me permet d’aller plus vite j’ai juste à cuisiner et c’est bon», renseigne la dame Diakhaté joint par téléphone.
Bigué Diop âgée de la trentaine, elle fait la vente de Nokoss en pot depuis maintenant 2 ans, explique le côté pratique de ces produits qui enlèvent le stress de certaines femmes. « Cela permet aux femmes qui travaillent et n’ont pas trop de temps pour aller au marché tout le temps afin d’acheter des condiments et vous optez pour une cuisine rapide, pratique et saine, nos nokoss sont déjà prêts pour tous les plats et marinades, sans produit chimique », a expliqué cette vendeuse de Nokoss résidant aux Parcelles Assainies. Poursuivant elle affirme que c’est un business qui marche bien, car ses clientes raffolent de ses produits et qu’elle est sollicitée par plusieurs grandes dames.
En effet, selon certaines femmes, les Nokoss en pots sont d’une grande aide. Étant très occupées par leur travail celles-ci sont devenues léser avec l’arrivée de ces produits prêts à l’emploi. Une véritable aubaine pour la dame Isseu Diakhaté dont le travail ne lui permet pas de faire le tour des marchés surtout en cette période.
« Le jour de la Tabaski, il y a beaucoup de chose à faire et je n’ai pas de bonne en cette période du coup je m’arrange comme je peux. Je descends tard la plupart du temps et mon mari est assez compréhensif. Donc, je commande plusieurs variétés de Nokoss que j’utilise pour l’assainissement de mes plats. Le jour J, cela me permet d’aller plus vite j’ai juste à cuisiner et c’est bon», renseigne la dame Diakhaté joint par téléphone.
Du pessimisme face à ces produits du net
« Flemmardise » et « paresse » sont selon Awa Mbaye la raison pour laquelle certaines femmes sénégalaises achètent ces Nokoss en pot. Mariée depuis un an, elle souligne qu’elle n’a jamais acheté cela et qu’elle en préparait elle-même. « Pour dire vrai, je n’aime pas acheter ces genres de produits sur les réseaux sociaux parce qu’avec la vente en ligne on ne sait jamais à quoi s'attendre ou ce que les vendeurs mettent dedans. Je préfère aller au marché acheter les ingrédients et le faire moi-même comme de ce fait je sais ce que je mange. Je tiens beaucoup à l’hygiène dans ce que je mange. En tant que femme, quand on gère son ménage et qu’on cuisine il y a des choses qu’on ne doit jamais délégué surtout ce qui va dans le ventre. Bien vrai que je travaille, je veille à m’organiser de telle sorte que les week-ends, je prépare les Nokoss dont j’ai besoin et les mettre dans le frigo. La vie à Dakar n’est pas facile, mais il ne faut pas prendre cela comme excuse pour acheter n’importe quoi. De plus en plus, je vois des femmes qui ne cuisine plus elles commandent tout sur les réseaux sociaux pour revenir faire des anos en disant que ce qu’on leur a vendu est mauvais. Mesdames, il faut arrêter cela organisez-vous », conseille-t-elle.
Ce que la vendeuse Bigué Diop a balayé d’un revers de la main en soutenant le contraire. « Il y a rien de mal a acheté du Nokoss déjà préparé, il faut que les femmes arrêtent de juger les autres. Certains ont le temps de le faire elle-même tandis que d’autres non. Chacun a une vie différente, il ne fait pas se baser sur sa vie pour juger les autres, parfois, c’est difficile d’avoir du temps pour aller au marché et faire les courses ici à Dakar personne n’a le temps. Celles qui veulent acheter et les autres faites vos propres Nokoss, c’est simple », pesté-t-elle.
Devenu un produit très prisé par les femmes qui ne fatiguent plus pour en faire, il est aussi devenu exposé dans certains supermarchés. Des petits Start-up sont aussi nés grâce à la vente de ces produits très sollicités et nécessaire pour la cuisine au Sénégal.
« Flemmardise » et « paresse » sont selon Awa Mbaye la raison pour laquelle certaines femmes sénégalaises achètent ces Nokoss en pot. Mariée depuis un an, elle souligne qu’elle n’a jamais acheté cela et qu’elle en préparait elle-même. « Pour dire vrai, je n’aime pas acheter ces genres de produits sur les réseaux sociaux parce qu’avec la vente en ligne on ne sait jamais à quoi s'attendre ou ce que les vendeurs mettent dedans. Je préfère aller au marché acheter les ingrédients et le faire moi-même comme de ce fait je sais ce que je mange. Je tiens beaucoup à l’hygiène dans ce que je mange. En tant que femme, quand on gère son ménage et qu’on cuisine il y a des choses qu’on ne doit jamais délégué surtout ce qui va dans le ventre. Bien vrai que je travaille, je veille à m’organiser de telle sorte que les week-ends, je prépare les Nokoss dont j’ai besoin et les mettre dans le frigo. La vie à Dakar n’est pas facile, mais il ne faut pas prendre cela comme excuse pour acheter n’importe quoi. De plus en plus, je vois des femmes qui ne cuisine plus elles commandent tout sur les réseaux sociaux pour revenir faire des anos en disant que ce qu’on leur a vendu est mauvais. Mesdames, il faut arrêter cela organisez-vous », conseille-t-elle.
Ce que la vendeuse Bigué Diop a balayé d’un revers de la main en soutenant le contraire. « Il y a rien de mal a acheté du Nokoss déjà préparé, il faut que les femmes arrêtent de juger les autres. Certains ont le temps de le faire elle-même tandis que d’autres non. Chacun a une vie différente, il ne fait pas se baser sur sa vie pour juger les autres, parfois, c’est difficile d’avoir du temps pour aller au marché et faire les courses ici à Dakar personne n’a le temps. Celles qui veulent acheter et les autres faites vos propres Nokoss, c’est simple », pesté-t-elle.
Devenu un produit très prisé par les femmes qui ne fatiguent plus pour en faire, il est aussi devenu exposé dans certains supermarchés. Des petits Start-up sont aussi nés grâce à la vente de ces produits très sollicités et nécessaire pour la cuisine au Sénégal.
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