Membre du Haut conseil des collectivités territoriales (Hcct), Ibou Ndiaye veut changer le visage de la commune Tataguine (une ville de l'ouest du Sénégal, dans la région de Fatick). Ce dimanche, alors qu’il procédait à la remise de financements à 4 groupements de femmes pour l’autonomisation de ces dernières, celui qui veut briguer un mandat à la mairie de Tataguine a listé les maux de cette localité.
Selon lui, l’accès à l’eau potable, à de bonnes structures de santé et à l’éducation sont les priorités sur lesquelles il faudra se pencher, une fois qu’il sera élu maire. « L’urgence qu’il faudrait régler aujourd’hui à Tataguine, c’est d’abord l’eau. La population souffre du manque d’eau potable. Si vous faites le tour du village, vous allez vous rendre compte que les femmes souffrent du manque d’eau. (..) Pratiquement, 75% n’ont pas accès à l’eau potable. Quand vous arrivez dans un quartier, il y a une maison qui a peut-être une borne fontaine, les autres n’en ont pas. Dans d’autres quartiers, on a été obligés de recourir au forage de puits », a déploré le Coordinateur communal de l’Apr à Tataguine.
« Il n’y a pas un seul médecin à Tataguine »
Ibou Ndiaye ne s’arrête pas là. Selon lui, il n’y a pas d’établissement sanitaire digne de ce nom à Tataguine. À part des dispensaires mal équipés. « On n’a que quelques dispensaires qui ne sont là que de nom. Dans certains postes de santé, il n’y a même pas de maternité encore. Pas de centre de santé. Ce qui veut dire que dans toute la commune de Tataguine, il n’y a pas de médecin », constate monsieur Ndiaye.
Ibou Ndiaye compte beaucoup œuvrer pour l’autonomisation des femmes de Tataguine par le biais de financements et de l’ouverture d’une mutuelle d’épargne qui leur sera spécialement dédiée.
Selon lui, l’accès à l’eau potable, à de bonnes structures de santé et à l’éducation sont les priorités sur lesquelles il faudra se pencher, une fois qu’il sera élu maire. « L’urgence qu’il faudrait régler aujourd’hui à Tataguine, c’est d’abord l’eau. La population souffre du manque d’eau potable. Si vous faites le tour du village, vous allez vous rendre compte que les femmes souffrent du manque d’eau. (..) Pratiquement, 75% n’ont pas accès à l’eau potable. Quand vous arrivez dans un quartier, il y a une maison qui a peut-être une borne fontaine, les autres n’en ont pas. Dans d’autres quartiers, on a été obligés de recourir au forage de puits », a déploré le Coordinateur communal de l’Apr à Tataguine.
« Il n’y a pas un seul médecin à Tataguine »
Ibou Ndiaye ne s’arrête pas là. Selon lui, il n’y a pas d’établissement sanitaire digne de ce nom à Tataguine. À part des dispensaires mal équipés. « On n’a que quelques dispensaires qui ne sont là que de nom. Dans certains postes de santé, il n’y a même pas de maternité encore. Pas de centre de santé. Ce qui veut dire que dans toute la commune de Tataguine, il n’y a pas de médecin », constate monsieur Ndiaye.
Ibou Ndiaye compte beaucoup œuvrer pour l’autonomisation des femmes de Tataguine par le biais de financements et de l’ouverture d’une mutuelle d’épargne qui leur sera spécialement dédiée.
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