Le mouvement Taxaw Temm dirigé par le Pr Ibrahima FALL, exprime toute sa solidarité au peuple frère du Burkina Faso pour son combat pour la liberté et le respect de l’Etat de droit. Il s’incline devant la mémoire de toutes les victimes innocentes, exprime sa compassion pour les familles éplorées. Il condamne tout coup d’état militaire ainsi que toute confiscation du pouvoir par l’armée qui doit retourner dans les casernes. Il milite pour le retour à l’ordre constitutionnel pour une transition civile avec la participation de toutes les forces vives de la société civile et des partis politiques en accord avec les dispositions prévues en cas de vacance du pouvoir.
Par la même occasion, le mouvement Taxaw Temm rappelle que le respect des constitutions et des calendriers électoraux est un impératif absolu pour les tenants du pouvoir. Plus généralement il réaffirme sa position de principe déjà exprimée depuis longtemps, à savoir qu’en matière constitutionnelle l’Exécutif n’est que le maître d’œuvre et que le maître d’ouvrage est le Peuple souverain.
Par conséquent, toute modification des constitutions, surtout au regard des réalités africaines actuelles, allant dans le sens d’une réduction ou augmentation de la durée ou du nombre de mandats exécutif ou parlementaire sans l’onction populaire est une violation flagrante de la loi fondamentale. C’est pourquoi, exige Taxaw Tem dans un communiqué parvenu à Pressafrik.com, «une réforme générale des institutions de notre pays au regard des Assises nationales et du Rapport de la Commission Nationale de Réformes des Institutions (CNRI) afin de parvenir à des Institutions consensuelles, stables, sécurisées, crédibles et durables».
Par la même occasion, le mouvement Taxaw Temm rappelle que le respect des constitutions et des calendriers électoraux est un impératif absolu pour les tenants du pouvoir. Plus généralement il réaffirme sa position de principe déjà exprimée depuis longtemps, à savoir qu’en matière constitutionnelle l’Exécutif n’est que le maître d’œuvre et que le maître d’ouvrage est le Peuple souverain.
Par conséquent, toute modification des constitutions, surtout au regard des réalités africaines actuelles, allant dans le sens d’une réduction ou augmentation de la durée ou du nombre de mandats exécutif ou parlementaire sans l’onction populaire est une violation flagrante de la loi fondamentale. C’est pourquoi, exige Taxaw Tem dans un communiqué parvenu à Pressafrik.com, «une réforme générale des institutions de notre pays au regard des Assises nationales et du Rapport de la Commission Nationale de Réformes des Institutions (CNRI) afin de parvenir à des Institutions consensuelles, stables, sécurisées, crédibles et durables».
Autres articles
-
Plan Diomaye pour la Casamance : le PROVALE-CV crée près de 4 000 emplois directs à Ziguinchor
-
Casamance : 1 057 hectares sauvés de la salinisation grâce aux digues anti-sel de Coubalan
-
Détention de Farba Ngom, Mabintou Diaby et Cie : le Médiateur de la République se saisit du dossier
-
Crise financière : Momar Thiam appelle Diomaye à «réduire sa rémunération» en coupant «la poire en deux»
-
Relance de l’économie en Casamance : Dr. Madana KANE salue la vision de terrain du Chef de l’État




Plan Diomaye pour la Casamance : le PROVALE-CV crée près de 4 000 emplois directs à Ziguinchor


