Dès sept heures ce jeudi matin, les premiers manifestants sont arrivés au rond-point Hamama situé non-loin du ministère de la Justice. Un rassemblement à l’appel de la coordination d'opposition wakit Tama.
À 8h30 précises, le cortège s’est élancé et sur plus de deux kilomètres, des slogans hostiles au Conseil militaire de transition et à la France sont régulièrement lancés. Sur les pancartes, on pouvait lire : « Non à un pouvoir militaire », « Macron hors du Tchad ». Des diplômés sans emplois, des retraités et les victimes du régime de Hissein Habré qui attendent à être indemnisés ont aussi rejoint le cortège, chacun avec sa banderole.
À dix heures, le cortège est arrivé à l’Esplanade du Palais du 15 janvier. Les principaux leaders ont alors pris la parole pour délivrer un message identique, il faut réviser la Charte de transition pour mettre en place un pouvoir civil : « Il faut que la Charte soit révisée pour que des garanties soient inscrites dedans. C’est la revendication de tout le monde ! C’est la revendication de l’Union africaine, c’est la revendication de l’Union européenne, c’est la revendication de tous les partenaires ! »
À onze heures, la manifestation a finalement pris fin, mais les leaders de Wakit Tama qui n’ont visiblement pas apprécié la faible mobilisation ont déjà annoncé d’autres marches pour les semaines à venir.
À 8h30 précises, le cortège s’est élancé et sur plus de deux kilomètres, des slogans hostiles au Conseil militaire de transition et à la France sont régulièrement lancés. Sur les pancartes, on pouvait lire : « Non à un pouvoir militaire », « Macron hors du Tchad ». Des diplômés sans emplois, des retraités et les victimes du régime de Hissein Habré qui attendent à être indemnisés ont aussi rejoint le cortège, chacun avec sa banderole.
À dix heures, le cortège est arrivé à l’Esplanade du Palais du 15 janvier. Les principaux leaders ont alors pris la parole pour délivrer un message identique, il faut réviser la Charte de transition pour mettre en place un pouvoir civil : « Il faut que la Charte soit révisée pour que des garanties soient inscrites dedans. C’est la revendication de tout le monde ! C’est la revendication de l’Union africaine, c’est la revendication de l’Union européenne, c’est la revendication de tous les partenaires ! »
À onze heures, la manifestation a finalement pris fin, mais les leaders de Wakit Tama qui n’ont visiblement pas apprécié la faible mobilisation ont déjà annoncé d’autres marches pour les semaines à venir.
Autres articles
-
Le Sahel, nouveau haut lieu du trafic de drogue en Afrique
-
Togo: les députés adoptent définitivement une nouvelle Constitution
-
Les États-Unis acceptent de retirer leur force anti-jihadiste du Niger
-
Gambie : la présence des soldats sénégalais de l’Ecomig rassure la population (diplomate)
-
Kenya : Ruto décrète 3 jours de deuil national pour le général Ogolla