Peu après 10h00, le premier conseiller de l’ambassade de France au Tchad et le général Pascal Ianni, à la tête du commandement pour l'Afrique de l’armée française, accueillent le ministre tchadien des Armées et des anciens combattants, le gouverneur d’Abéché ainsi que le sultan de la ville.
« Aujourd’hui, après tant d’années de présence à Abéché, le Tchad a renforcé ses capacités et il est en mesure de faire face aux défis sécuritaires et humanitaires du Ouaddaï. La restitution du camp à l’armée tchadienne en est un symbole. Ce retrait n’est pas un adieu, mais un au revoir de ses militaires », a déclaré le colonel Boris Pomirol, commandant de la base aérienne projetée de Ndjamena.
Puis, le gouverneur d’Abéché, Bachar Ali Souleymane, tout de blanc vêtu, s’avance vers le micro : « La cérémonie qui nous réuni, aujourd’hui, est organisée afin de rendre mémorable le retrait de l’armée française, détachée à Abéché, suite à la décision du gouvernement, du 28 novembre 2024. Cette décision historique vient renforcer notre assurance et notre confiance envers nos forces de Défense et de sécurité qui ont toujours assuré leur mission régalienne avec diligence. »
Cette cérémonie a aussi été l’occasion, pour le ministre tchadien des Armées, de rappeler le calendrier fixé par Ndjamena pour le retrait définitif et complet des militaires français. « Nous constatons avec satisfaction que le calendrier établi est respecté. C’est aussi pour moi l’occasion de réitérer la ferme volonté du gouvernement de respecter les échéances établies dont la date limite qui marquera le départ définitif des forces françaises du Tchad, est le 31 janvier 2025 », a précisé Issakha Maloua Djamous, ministre tchadien des Armées.
À la mi-journée, quatre-vingt-dix militaires français sur les cent-vingt que comptait la base sont partis en avion vers Ndjamena. Ils quitteront définitivement le territoire tchadien à la prochaine rotation militaire. Le rendez-vous est donc pris pour le 31 janvier. Le départ de la base d’Adji Kosseï, à Ndjamena, sera donc l’ultime étape de ce désengagement organisé en un temps restreint, comme l’ont exigé les autorités tchadiennes.
« Aujourd’hui, après tant d’années de présence à Abéché, le Tchad a renforcé ses capacités et il est en mesure de faire face aux défis sécuritaires et humanitaires du Ouaddaï. La restitution du camp à l’armée tchadienne en est un symbole. Ce retrait n’est pas un adieu, mais un au revoir de ses militaires », a déclaré le colonel Boris Pomirol, commandant de la base aérienne projetée de Ndjamena.
Puis, le gouverneur d’Abéché, Bachar Ali Souleymane, tout de blanc vêtu, s’avance vers le micro : « La cérémonie qui nous réuni, aujourd’hui, est organisée afin de rendre mémorable le retrait de l’armée française, détachée à Abéché, suite à la décision du gouvernement, du 28 novembre 2024. Cette décision historique vient renforcer notre assurance et notre confiance envers nos forces de Défense et de sécurité qui ont toujours assuré leur mission régalienne avec diligence. »
Cette cérémonie a aussi été l’occasion, pour le ministre tchadien des Armées, de rappeler le calendrier fixé par Ndjamena pour le retrait définitif et complet des militaires français. « Nous constatons avec satisfaction que le calendrier établi est respecté. C’est aussi pour moi l’occasion de réitérer la ferme volonté du gouvernement de respecter les échéances établies dont la date limite qui marquera le départ définitif des forces françaises du Tchad, est le 31 janvier 2025 », a précisé Issakha Maloua Djamous, ministre tchadien des Armées.
À la mi-journée, quatre-vingt-dix militaires français sur les cent-vingt que comptait la base sont partis en avion vers Ndjamena. Ils quitteront définitivement le territoire tchadien à la prochaine rotation militaire. Le rendez-vous est donc pris pour le 31 janvier. Le départ de la base d’Adji Kosseï, à Ndjamena, sera donc l’ultime étape de ce désengagement organisé en un temps restreint, comme l’ont exigé les autorités tchadiennes.
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