L’auteur du fumeux rapport qui avait éclaboussé la hiérarchie policière notamment ), le commissaire Abdoulaye Niang, le prédécesseur d’Anna Sémou Faye, à la tête de la Direction Générale de la Police Nationale (DGPN), refait surface. Le commissaire Cheikhna Keïta se prononce sur le brûlot, « Pour l’honneur de la gendarmerie nationale » où l’auteur qui n’est l’autre le colonel Ndaw ne rate pas l’ex-haut commandant de la gendarmerie, le Général Fall coupable selon lui, de corruption, enrichissement illicite, haute trahison contre son pays, le Sénégal.
Pour l’ancien patron de l’OCRTIS, « c’est une situation très positive ».
Ce, « pour permettre aux autorités » de faire « quelles réglages ». Car dit le commissaire de 1962 à nos jours, le constat est là, que ce soit au niveau de la police ou la gendarmerie, il s’y pas des choses pas du tout nettes. Selon lui, ces corps sont faits de « calculs, intérêts personnels, prédation, tricherie, vol… ». Pis, ils ne servent plus à rien. Vaut mieux, préconise-t-il, « s’arrêter, sortir de ce jeu et de manière honnête, faire l’état des lieux, situer les responsabilités » pour « l’équilibre ».
A travers le brûlot, le commissaire Keïta ne voit aucun danger. Mieux, cela montre que ni la police encore moins la gendarmerie ne sont exceptionnelles. « Ce sont des hommes comme les autres ». On ne doit plus les sacraliser, donc. Dans lesdits corps, le mérite doit être restauré car « le désordre y est de mise ». En lieu et place, « ils ne règlent plus aucune situation, ne protègent même plus les populations », charge ce dernier à l’émission « Diné ak Diamono » sur la chaîne de télévision Walf TV où il ne manque pas d’inviter à « comprendre que maintenant on se dit la vérité » qui est la « seule solution pour corriger nos failles, mettre le mal sur la table » en vue de « solutions ».
Pour l’ancien patron de l’OCRTIS, « c’est une situation très positive ».
Ce, « pour permettre aux autorités » de faire « quelles réglages ». Car dit le commissaire de 1962 à nos jours, le constat est là, que ce soit au niveau de la police ou la gendarmerie, il s’y pas des choses pas du tout nettes. Selon lui, ces corps sont faits de « calculs, intérêts personnels, prédation, tricherie, vol… ». Pis, ils ne servent plus à rien. Vaut mieux, préconise-t-il, « s’arrêter, sortir de ce jeu et de manière honnête, faire l’état des lieux, situer les responsabilités » pour « l’équilibre ».
A travers le brûlot, le commissaire Keïta ne voit aucun danger. Mieux, cela montre que ni la police encore moins la gendarmerie ne sont exceptionnelles. « Ce sont des hommes comme les autres ». On ne doit plus les sacraliser, donc. Dans lesdits corps, le mérite doit être restauré car « le désordre y est de mise ». En lieu et place, « ils ne règlent plus aucune situation, ne protègent même plus les populations », charge ce dernier à l’émission « Diné ak Diamono » sur la chaîne de télévision Walf TV où il ne manque pas d’inviter à « comprendre que maintenant on se dit la vérité » qui est la « seule solution pour corriger nos failles, mettre le mal sur la table » en vue de « solutions ».
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