L’Institut Timbuktu sonne l’alerte sur les inégalités qui pourraient être des facteurs de radicalisation surtout au niveau de la banlieue ou certains jeunes se sentent délaisser par le système. Dans un rapport rendu public ce lundi, le chercheur Bacary Sambe sonne l’alerte et invite les pouvoirs publics et parents à prendre les devants.
Le rapport de l’Institut Timbuktu rendu public hier fait froid dans le dos. Selon, cette étude sept (7) jeunes dont (3 femmes et 4 hommes), tous nés à Dakar entre 1982 et 1998, se disent prêts à s’engager dans un mouvement radical pour défendre l’Islam. D’après l’étude réalisée par Timuktu Institut ces jeunes qui partagent en commun une vision « positive » de la radicalisation et de l’extrémisme.
L’étude réalisée sur « les facteurs de radicalisation et perception du terrorisme chez les jeunes de la grande banlieue de Dakar » a été présentée ce lundi à la Maison de la Presse de Dakar.
Le rapport signale, effet que « Pour eux, la radicalisation est le moyen de valoriser l’Islam. Ils pourraient s’engager dans un mouvement radical pour défendre l’Islam ».
S’ils aspirent à l’instauration de la Charia, ils ne conspuent pas tous la laïcité ne se rendant pas toujours compte que les deux principes ne sont pas compatibles ou ne comprenant pas ce que veut dire ce terme très problématique. Ils ont été satisfaits ou n’ont montré aucune réaction aux actions terroristes les plus médiatisés telles que les attentats de Paris.
Ce groupe de jeunes voit d’un mauvais œil la présence militaire étrangère, américaine et surtout française qui, selon eux, exposerait le pays à plus de risques.
D’après toujours le rapport, « Ces jeunes partagent tous l’avis selon lequel le Sénégal pourrait être touché par un attentat terroriste. Enfin, il faut souligner, selon le rapport, que beaucoup de jeunes dans cette catégorie, placent leur confiance dans l’Arabie Saoudite et le pays du Golfe pour régler de potentiels problèmes dans le Sahel et ce, au détriment d’autres acteurs, les Nations-Unies, l’Union Européenne ou les Etats-Unis. Ils sont dans une forme de rupture de référentiels politiques et idéologiques au regard de leurs réponses.
Le rapport de l’Institut Timbuktu rendu public hier fait froid dans le dos. Selon, cette étude sept (7) jeunes dont (3 femmes et 4 hommes), tous nés à Dakar entre 1982 et 1998, se disent prêts à s’engager dans un mouvement radical pour défendre l’Islam. D’après l’étude réalisée par Timuktu Institut ces jeunes qui partagent en commun une vision « positive » de la radicalisation et de l’extrémisme.
L’étude réalisée sur « les facteurs de radicalisation et perception du terrorisme chez les jeunes de la grande banlieue de Dakar » a été présentée ce lundi à la Maison de la Presse de Dakar.
Le rapport signale, effet que « Pour eux, la radicalisation est le moyen de valoriser l’Islam. Ils pourraient s’engager dans un mouvement radical pour défendre l’Islam ».
S’ils aspirent à l’instauration de la Charia, ils ne conspuent pas tous la laïcité ne se rendant pas toujours compte que les deux principes ne sont pas compatibles ou ne comprenant pas ce que veut dire ce terme très problématique. Ils ont été satisfaits ou n’ont montré aucune réaction aux actions terroristes les plus médiatisés telles que les attentats de Paris.
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