Sans tambours ni trompettes, la traque des djihadistes ou candidats au Djihad se poursuit. L’arrestation en novembre dernier d’Imam Alioune Ndao, avait mis sur le devant de la scène, une actualité pernicieuse. Depuis les forces de l’ordre sénégalaises ne relâchent pas la pression sur ces djihadistes sénégalais. Cette traque se fait de concert avec les forces de sécurité des pays limitrophes. C’est ainsi que dernièrement, huit (8) présumés djihadistes de la cellule de Mohamed Ndiaye ont été remis à la DIC par leurs homologues de la Mauritanie.
Il s’agit de M. Seck (le plus jeune âgé de 17 ans), Lamine Coulibaly appelé Abou Jaavar (23 ans), Mamadou M. Mbaye (un ancien djihadiste de la Syrie âgé de 28 ans), Alpha Diallo, 29 ans , Oumar Keïta (33 ans), Boubacar D. Ndiaye (33 ans), Mor Mbaye Dème (35 ans).
Ils ont été déférés au Parquet pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste, blanchiment de capitaux dans le cadre d’activités terroristes en bande organisée, actes de terrorisme par menaces ou complot, apologie du terrorisme et financement de terrorisme. Selon des sources de «Enquête», les mis en cause ont confié que depuis 2015, 23 combattants sénégalais ont rejoint Boko Haram. Ces Sénégalais djihadistes sont activement impliqués dans les combats.
Dans cette affaire, les enquêtes poussées et les interrogatoires de djihadistes sénégalais ont révélé quatre (4) catégories de djihadistes sénégalais. Il y a ceux qui sont de retour au Sénégal depuis belle lurette notamment Ibrahima Diallo alias Abou Oumar, Mouhamed Mballo dont le nom de guerre est Thou El Kiffi et Abou Jendel. La deuxième catégorie concerne les combattants qui n’ont pas quitté le pays pour diverses raisons. C’est le cas pour Abdoul Ahmed, Pape Coulibaly et Mama BA. Par contre Moussa Sow alias Abou Doujana, Oumar Yafa encore appelé Abou Hafsa, Ibrahima Diallo alias Abou Moussa étaient sur le point de revenir au bercail. C’est la troisième catégorie.
A côté de ces trois catégories, il y a ceux qui sont dans les champs de bataille en Libye. Ce sont les combattants de Brahim BA alias Abou El Welid, Abdourahmane Mendy alias Abou Elimine et Moustapha Diop alias Abou Hatem. Ils ont été trahis par des envois d’argent, un montant colossal non précisé qui devait leur servir de frais de transport pour la Libye, comme ce fut le cas lors de leur première «mission» au Nigéria aux côtés de Boko Haram. Les fonds destinés au financement viennent de deux pays : le Nigéria et la Libye.
Les auditions des suspects ont révélé que ces djihadistes voulaient mettre sur pied un centre à Kédougou qui devait servir à expliquer aux jeunes les bienfaits du djihad. La personne chargée d’apporter les financements a été alpaguée sans qu’on ne précise de qui il s’agit.
Il s’agit de M. Seck (le plus jeune âgé de 17 ans), Lamine Coulibaly appelé Abou Jaavar (23 ans), Mamadou M. Mbaye (un ancien djihadiste de la Syrie âgé de 28 ans), Alpha Diallo, 29 ans , Oumar Keïta (33 ans), Boubacar D. Ndiaye (33 ans), Mor Mbaye Dème (35 ans).
Ils ont été déférés au Parquet pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste, blanchiment de capitaux dans le cadre d’activités terroristes en bande organisée, actes de terrorisme par menaces ou complot, apologie du terrorisme et financement de terrorisme. Selon des sources de «Enquête», les mis en cause ont confié que depuis 2015, 23 combattants sénégalais ont rejoint Boko Haram. Ces Sénégalais djihadistes sont activement impliqués dans les combats.
Dans cette affaire, les enquêtes poussées et les interrogatoires de djihadistes sénégalais ont révélé quatre (4) catégories de djihadistes sénégalais. Il y a ceux qui sont de retour au Sénégal depuis belle lurette notamment Ibrahima Diallo alias Abou Oumar, Mouhamed Mballo dont le nom de guerre est Thou El Kiffi et Abou Jendel. La deuxième catégorie concerne les combattants qui n’ont pas quitté le pays pour diverses raisons. C’est le cas pour Abdoul Ahmed, Pape Coulibaly et Mama BA. Par contre Moussa Sow alias Abou Doujana, Oumar Yafa encore appelé Abou Hafsa, Ibrahima Diallo alias Abou Moussa étaient sur le point de revenir au bercail. C’est la troisième catégorie.
A côté de ces trois catégories, il y a ceux qui sont dans les champs de bataille en Libye. Ce sont les combattants de Brahim BA alias Abou El Welid, Abdourahmane Mendy alias Abou Elimine et Moustapha Diop alias Abou Hatem. Ils ont été trahis par des envois d’argent, un montant colossal non précisé qui devait leur servir de frais de transport pour la Libye, comme ce fut le cas lors de leur première «mission» au Nigéria aux côtés de Boko Haram. Les fonds destinés au financement viennent de deux pays : le Nigéria et la Libye.
Les auditions des suspects ont révélé que ces djihadistes voulaient mettre sur pied un centre à Kédougou qui devait servir à expliquer aux jeunes les bienfaits du djihad. La personne chargée d’apporter les financements a été alpaguée sans qu’on ne précise de qui il s’agit.
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