L’ancien parlementaire Théodore Chérif Monteill a tiré la sonnette d’alarme sur la situation politique actuelle du Sénégal. Invité de l’émission Grand Jury, sur la RFM, ce dimanche 26 octobre, il a estimé que le pays court droit vers une crise institutionnelle majeure si les tensions persistantes entre le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, et son Premier ministre, Ousmane Sonko, ne sont pas rapidement résolues.
« Aujourd’hui, c’est une réalité : nous avons un pouvoir légitime confié au Président de la République Bassirou Diomaye Faye. À côté de lui, il y a un Premier ministre défiant qui refuse de démissionner », a déclaré M. Monteill, soulignant la gravité d’une telle situation dans le fonctionnement normal de l’État.
L’ancien député de la 13e législature a rappelé que « l’on ne démet pas un Premier ministre facilement », estimant que la Constitution et les équilibres institutionnels exigent une approche prudente. Toutefois, il prévient que cette dualité au sommet de l’État ne peut être que « négative pour le Sénégal », notamment pour la mise en œuvre de la politique économique et sociale du gouvernement.
Théodore Chérif Monteill a invité les acteurs politiques à faire preuve de responsabilité et de lucidité afin d’éviter un blocage institutionnel qui pourrait fragiliser davantage la stabilité politique et sociale du pays. Le Sénégal a besoin d’un exécutif uni, tourné vers les priorités des populations, a-t-il conclu.
« Aujourd’hui, c’est une réalité : nous avons un pouvoir légitime confié au Président de la République Bassirou Diomaye Faye. À côté de lui, il y a un Premier ministre défiant qui refuse de démissionner », a déclaré M. Monteill, soulignant la gravité d’une telle situation dans le fonctionnement normal de l’État.
L’ancien député de la 13e législature a rappelé que « l’on ne démet pas un Premier ministre facilement », estimant que la Constitution et les équilibres institutionnels exigent une approche prudente. Toutefois, il prévient que cette dualité au sommet de l’État ne peut être que « négative pour le Sénégal », notamment pour la mise en œuvre de la politique économique et sociale du gouvernement.
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