Selon les informations de Libération, le parquet de Dakar a demandé l'ouverture d'une information judiciaire pour "association de malfaiteurs, faux, usage de faux et violation de la loi sur l'État d'urgence", après une enquête de la Section des recherches sur une affaire de trafic d'autorisation de circuler entre régions.
Des sources au journal révèlent que tout a commencé avec l'arrestation d'un particulier qui détenait une autorisation de circuler entre Dakar et Saint-Louis (nord). L'analyse du document a permis aux gendarmes de relever quelques incohérences notamment notamment concernant l'identité du signataire de l'autorisation.
Sur la base des aveux du voyageur, la section des recherches a cueilli celui qui lui a remis le précieux sésame. Ce dernier se trouve être un administrateur de sociétés très connu. Plus grave, la perquisition effectuée à son domicile a permis aux enquêteurs de saisir plusieurs autorisations avec les mêmes caractéristiques que des cartes d'identité de clients.
La grande question, selon Libération, est de savoir comment un privé a pu se retrouver avec des documents même s'ils sont présumés faux en raison de la signature inappropriée. L'affaire risque de faire des vagues puisque lors de son audition, le mis en cause est complètement passé à table, allant même à livrer des noms. D'autres arrestations sont attendues.
Des sources au journal révèlent que tout a commencé avec l'arrestation d'un particulier qui détenait une autorisation de circuler entre Dakar et Saint-Louis (nord). L'analyse du document a permis aux gendarmes de relever quelques incohérences notamment notamment concernant l'identité du signataire de l'autorisation.
Sur la base des aveux du voyageur, la section des recherches a cueilli celui qui lui a remis le précieux sésame. Ce dernier se trouve être un administrateur de sociétés très connu. Plus grave, la perquisition effectuée à son domicile a permis aux enquêteurs de saisir plusieurs autorisations avec les mêmes caractéristiques que des cartes d'identité de clients.
La grande question, selon Libération, est de savoir comment un privé a pu se retrouver avec des documents même s'ils sont présumés faux en raison de la signature inappropriée. L'affaire risque de faire des vagues puisque lors de son audition, le mis en cause est complètement passé à table, allant même à livrer des noms. D'autres arrestations sont attendues.
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