Faire exploser les mines laissées par les Russes pour ouvrir la route aux soldats ukrainiens ou, à l’inverse, miner des zones pour contenir l’avancée du camp adverse : c’est la tâche de Roma, 33 ans, originaire de l’ouest du pays, mais qui connait bien la région pour y avoir combattu en 2014 et 2015.
« Il nous arrive d’avancer jusqu’à leurs postes d’observation, à environ 50-100 mètres, pour y placer des mines. Ça arrive qu’on les entende parler entre eux, pendant qu’on fait notre travail en silence », raconte Roma.
À Bakhmout, la situation est très délicate pour les soldats ukrainiens, constate Roma : « (Les Russes) continuent d’avancer. C’est très dur pour nos gars qui sont à Bakhmout car ils ne font pas qu’avancer, ils tirent aussi à l’artillerie, des gros calibres. Ils anéantissent tous les bâtiments ».
« Il nous arrive d’avancer jusqu’à leurs postes d’observation, à environ 50-100 mètres, pour y placer des mines. Ça arrive qu’on les entende parler entre eux, pendant qu’on fait notre travail en silence », raconte Roma.
À Bakhmout, la situation est très délicate pour les soldats ukrainiens, constate Roma : « (Les Russes) continuent d’avancer. C’est très dur pour nos gars qui sont à Bakhmout car ils ne font pas qu’avancer, ils tirent aussi à l’artillerie, des gros calibres. Ils anéantissent tous les bâtiments ».
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