En 2019, I. Mangara purgeait en République de Mauritanie, une peine de 4 ans de prison pour trafic de chanvre indien. Elargi de prison, il est rentré au bercail pour vivre auprès des siens dans la commune de Ndioum (Région de Saint-Louis).
Il récupère ses deux enfants mineurs (une fille et un garçon) et, loin des regards indiscrets, les initie à la pratique du trafic de drogue. Une façon pour lui d’employer ses enfants comme dealer pour son propre compte. Un business délictuel qui, fort heureusement, va faire long feu. I. Mangara sera démasqué par les pandores de Ndioum qui l’ont appréhendé et placé en garde à vue.
C. Seck qui s’approvisionnait chez I. Mangara a été arrêté par des gendarmes. Il est soumis à une fouille qui a conduit la découverte de 3 cornets de chanvre indien.
Le caïd chargé par ses enfants
Interpellé sur la provenance de la drogue, il conduit les gendarmes chez Mangara. Une fois sur les lieux, les gendarmes ont découvert un sac qui avait été dissimulé par les deux enfants et employés de Mangara.
Selon « L’Observateur », l’ouverture dudit sac a conduit à la découverte de 32 cornets de chanvre. Il sera dénoncé par ses propres enfants, une fille du nom de F. Mangara (14 ans) et un garçon E. Mangara. Mieux, les deux gamins vont avouer aux gendarmes qu’ils ont été contraints de pratiquer ce trafic par leur papa.
Il récupère ses deux enfants mineurs (une fille et un garçon) et, loin des regards indiscrets, les initie à la pratique du trafic de drogue. Une façon pour lui d’employer ses enfants comme dealer pour son propre compte. Un business délictuel qui, fort heureusement, va faire long feu. I. Mangara sera démasqué par les pandores de Ndioum qui l’ont appréhendé et placé en garde à vue.
C. Seck qui s’approvisionnait chez I. Mangara a été arrêté par des gendarmes. Il est soumis à une fouille qui a conduit la découverte de 3 cornets de chanvre indien.
Le caïd chargé par ses enfants
Interpellé sur la provenance de la drogue, il conduit les gendarmes chez Mangara. Une fois sur les lieux, les gendarmes ont découvert un sac qui avait été dissimulé par les deux enfants et employés de Mangara.
Selon « L’Observateur », l’ouverture dudit sac a conduit à la découverte de 32 cornets de chanvre. Il sera dénoncé par ses propres enfants, une fille du nom de F. Mangara (14 ans) et un garçon E. Mangara. Mieux, les deux gamins vont avouer aux gendarmes qu’ils ont été contraints de pratiquer ce trafic par leur papa.
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