« Que les enfants ne soient plus maltraités, exploités ou violés, il est grand temps que l’Etat prenne des mesures pour protéger ses plus petits ». Tel est le message de l’Archevêque de Dakar, en cette veille de Noël. Monseigneur Benjamin Ndiaye a invité tout le monde à cultiver les attitudes pour une société véritablement humaine.
« Un enfant nous est né, un fils nous est donné, éternelle est sa puissance (…) Que les enfants qui naissent à la vie soient bien accueillis, aimés, soignés et respectés, car c’est beau la vie », a déclaré Monseigneur Benjamin Ndiaye.
Selon L’archevêque de Dakar, « C’est un don de Dieu, le don même par excellence. Que les enfants qui grandissent ne soient plus maltraités, exploités, violés mais éduqués avec amour et tendresse pour qu’ils puissent s’épanouir pleinement ».
Donc, a-t-il lancé : « Il est grand temps pour notre pays de dépasser les actions symboliques pour oser mettre pleinement en pratique les bonnes intentions à l’égard des enfants ».
Monseigneur Benjamin Ndiaye de poursuivre son speech en se questionnant : « Par l’incarnation du verbe, Dieu ne vient-il pas s’intégrer dans la vie des hommes ? Ne vient-il pas s’inclure dans notre humanité ?
Par conséquent, a-t-il conclu : « Apprenons donc du Seigneur de la vie à cultiver des attitudes qui intègrent et incluent les autres dans les respects de la vie ».
« Un enfant nous est né, un fils nous est donné, éternelle est sa puissance (…) Que les enfants qui naissent à la vie soient bien accueillis, aimés, soignés et respectés, car c’est beau la vie », a déclaré Monseigneur Benjamin Ndiaye.
Selon L’archevêque de Dakar, « C’est un don de Dieu, le don même par excellence. Que les enfants qui grandissent ne soient plus maltraités, exploités, violés mais éduqués avec amour et tendresse pour qu’ils puissent s’épanouir pleinement ».
Donc, a-t-il lancé : « Il est grand temps pour notre pays de dépasser les actions symboliques pour oser mettre pleinement en pratique les bonnes intentions à l’égard des enfants ».
Monseigneur Benjamin Ndiaye de poursuivre son speech en se questionnant : « Par l’incarnation du verbe, Dieu ne vient-il pas s’intégrer dans la vie des hommes ? Ne vient-il pas s’inclure dans notre humanité ?
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