Un atelier de trois (03) jours portant sur la sensibilisation, la labellisation, la certification et l'accréditation dans la Zone de Libre Échange du continent africain (ZLECAF) s'est ouvert ce mardi 01 octobre 2024, à Dakar. Cette importante activité a vu la participation des pays membres de l'espace Uemoa sous l'impulsion des chambres consulaires. Ce programme vise à fournir de l'assistance technique de " manière réactive et flexible" répondant aux besoins de la ZLECAF. Mieux, selon Jean Claude Malango, représentant du ministère du Commerce et de l'industrie, "ce programme devrait créer un marché unique continental de plus d'1,2 milliards de consommateurs avec un PIB collectif supérieur à 2000 milliards de dollars".
Dans le cadre de ces activités, les organisateurs visent à ce que le secteur privé puisse être le levier accélérateur de la dynamique des échanges au niveau continental. Moussa Souané, représentant des chambres consulaires régionales souligne que l'objectif de cette rencontre est de faire porter au secteur privé la vulgarisation de la dynamique d'intégration et d'échanges dans les 55 pays membres de la ZLECAF.
A cet effet, il a indiqué que de nombreux défis doivent être relevés afin de permettre la compétitivité du secteur privé. Il s'agit notamment d'encourager le partenariat inter- entreprises africaines, de renforcer la capacité et les compétences des acteurs économiques, de veiller au respect des normes et techniques environnementales et de faire la promotion des investissements.
M. Souané a fait remarquer que des efforts doivent être entrepris en ce sens, surtout en ce qui concerne le domaine agricole où chaque année 100 milliards de dollars de produits sont importés.
Prenant part à l'ouverture de cet atelier, Aissa Kabo Sidiku, représentante de la commission au Sénégal, s'est félicitée de cette initiative qui permettra de favoriser plus de dynamisme et de compétitivité dans le marché Uemoa avec l'opérationnalisation de la Zone de Libre Échange Intercontinental africaine dans les pays membres .
Selon elle, l'opérationnalisation de la ZLECAF permettrait d'élever à hauteur de 81% les exportations africaines, si toutefois les opérateurs économiques s'en approprient. Elle a mis en exergue la nécessité de démanteler les barrières non tarifaires entre les pays membres. Elle a précisé qu'une bonne mise en œuvre de la politique de la ZLECAF peut multiplier par 2 les échanges intra-africains. Pour cela, elle a appelé à réduire le déficit d'infrastructures liées au commerce, de mettre sur le marché des produits de qualité, d'éradiquer les obstacles techniques liés au commerce en permettant la labellisation, la certification et l'accréditation et la métrologie des produits.
Le représentant du ministère du Commerce et de l'industrie, Jean Claude Malango s'est félicité de cette importante rencontre regroupant les pays membres. Pour lui, une politique d'harmonisation économique au niveau régional permettrait de booster les échanges internationaux et le relèvement structurel des économies des pays membres. Il fait savoir que la zone de libre-échange continental africaine devrait créer un marché unique continental de plus d'1,2 milliards de consommateurs avec un PIB collectif supérieur à 2000 milliards de dollars.
Dans le cadre de ces activités, les organisateurs visent à ce que le secteur privé puisse être le levier accélérateur de la dynamique des échanges au niveau continental. Moussa Souané, représentant des chambres consulaires régionales souligne que l'objectif de cette rencontre est de faire porter au secteur privé la vulgarisation de la dynamique d'intégration et d'échanges dans les 55 pays membres de la ZLECAF.
A cet effet, il a indiqué que de nombreux défis doivent être relevés afin de permettre la compétitivité du secteur privé. Il s'agit notamment d'encourager le partenariat inter- entreprises africaines, de renforcer la capacité et les compétences des acteurs économiques, de veiller au respect des normes et techniques environnementales et de faire la promotion des investissements.
M. Souané a fait remarquer que des efforts doivent être entrepris en ce sens, surtout en ce qui concerne le domaine agricole où chaque année 100 milliards de dollars de produits sont importés.
Prenant part à l'ouverture de cet atelier, Aissa Kabo Sidiku, représentante de la commission au Sénégal, s'est félicitée de cette initiative qui permettra de favoriser plus de dynamisme et de compétitivité dans le marché Uemoa avec l'opérationnalisation de la Zone de Libre Échange Intercontinental africaine dans les pays membres .
Selon elle, l'opérationnalisation de la ZLECAF permettrait d'élever à hauteur de 81% les exportations africaines, si toutefois les opérateurs économiques s'en approprient. Elle a mis en exergue la nécessité de démanteler les barrières non tarifaires entre les pays membres. Elle a précisé qu'une bonne mise en œuvre de la politique de la ZLECAF peut multiplier par 2 les échanges intra-africains. Pour cela, elle a appelé à réduire le déficit d'infrastructures liées au commerce, de mettre sur le marché des produits de qualité, d'éradiquer les obstacles techniques liés au commerce en permettant la labellisation, la certification et l'accréditation et la métrologie des produits.
Le représentant du ministère du Commerce et de l'industrie, Jean Claude Malango s'est félicité de cette importante rencontre regroupant les pays membres. Pour lui, une politique d'harmonisation économique au niveau régional permettrait de booster les échanges internationaux et le relèvement structurel des économies des pays membres. Il fait savoir que la zone de libre-échange continental africaine devrait créer un marché unique continental de plus d'1,2 milliards de consommateurs avec un PIB collectif supérieur à 2000 milliards de dollars.
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