«Abdoul Mbaye est membre fondateur de Mankoo Wàttu Senegaal (MWS) qui le soutient dans cette affaire-là», campe Mamadou Lamine Diallo. Martelant que «c’est une affaire où Macky Sall veut utiliser la Justice pour éliminer ses opposants politiques», le coordonnateur du front de souligner: «Ce n’est pas normal, c’est la raison de notre présence ici».
Interpellé par Pressafrik.com sur le montant de la caution pour les prochaines élections législatives arrêté à 15 millions, il indique que «la position de Mankoo, c’était de dire que la caution de 20 millions étaient élevée. On prend acte de la décision du ministre. Pour nous, ce qui est important, c’est d’avoir un processus transparent, que les Sénégalais qui sont inscrits puissent avoir leurs cartes d’électeurs à temps et que nous arrivions à au moins quatre (4) millions de Sénégalais qui disposent de leurs cartes d’électeurs au 30 avril et de manière équilibrée sur le territoire national. Voilà notre combat aujourd’hui et pour avoir des élections transparentes le 30 juillet 2017».
Dans un tout autre registre, le coordonnateur de Mankoo répond à la Direction Générale des Elections (DGE) qui dit attendre des preuves des accusations de graves manipulations du fichier électoral.
«Nous leur avons donné les éléments et ils ont les preuves, ils savent parfaitement bien les déséquilibres qu’il y a à Matam et à Podor qui ne correspondent pas à la démographie qu’il y a là-bas. Donc, ils ont les preuves, il ne faut pas qu’ils nous fatiguent. Ils savent bien ce qui se fait là-bas», tranche l’opposant.
De toute façon, du côté du FDS, «le combat continue». «Mankoo est une plateforme de lutte et en fonction des situations, nous verrons ce que nous allons faire. Il y a beaucoup d’options sur la table. Aujourd’hui, beaucoup de leaders de Mankoo sont agressés sur le plan judiciaire et donc, il faut faire face à tout cela», conclut son coordonnateur.
Interpellé par Pressafrik.com sur le montant de la caution pour les prochaines élections législatives arrêté à 15 millions, il indique que «la position de Mankoo, c’était de dire que la caution de 20 millions étaient élevée. On prend acte de la décision du ministre. Pour nous, ce qui est important, c’est d’avoir un processus transparent, que les Sénégalais qui sont inscrits puissent avoir leurs cartes d’électeurs à temps et que nous arrivions à au moins quatre (4) millions de Sénégalais qui disposent de leurs cartes d’électeurs au 30 avril et de manière équilibrée sur le territoire national. Voilà notre combat aujourd’hui et pour avoir des élections transparentes le 30 juillet 2017».
Dans un tout autre registre, le coordonnateur de Mankoo répond à la Direction Générale des Elections (DGE) qui dit attendre des preuves des accusations de graves manipulations du fichier électoral.
«Nous leur avons donné les éléments et ils ont les preuves, ils savent parfaitement bien les déséquilibres qu’il y a à Matam et à Podor qui ne correspondent pas à la démographie qu’il y a là-bas. Donc, ils ont les preuves, il ne faut pas qu’ils nous fatiguent. Ils savent bien ce qui se fait là-bas», tranche l’opposant.
De toute façon, du côté du FDS, «le combat continue». «Mankoo est une plateforme de lutte et en fonction des situations, nous verrons ce que nous allons faire. Il y a beaucoup d’options sur la table. Aujourd’hui, beaucoup de leaders de Mankoo sont agressés sur le plan judiciaire et donc, il faut faire face à tout cela», conclut son coordonnateur.
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