L’information est du porte-parole du PDS lui-même qui se dit en possession d’un message du président sortant qui lui a demandé d’informer de vive voix de son retour ce 23 avril en plus « de voir comment, informer d’autres personnalités politiques, coutumières et religieuses en Casamance ». Me Abdoulaye Wade ne démord donc pas de sa volonté réunifier la famille libérale. Ce que confirme par ailleurs, Babacar Gaye qui indique que le pape du Sopi « ne se lassera jamais de voir tous ses enfants réunis autour d’une grande famille pour proposer aux Sénégalais une démarche crédible ».
A cet effet, « s’il appelle Pape Diop pour lui annoncer son retour, c’est tout à fait normal. Me Wade est en train d’informer tous ses amis et Pape Diop en fait partie même si on a constaté une petite bouderie politique après la défaite de 2012 ». Pour le responsable libéral, ce 23 avril, « il ne s’agit uniquement de mobiliser les Sénégalais pour accueillir le président Wade, de mettre la main à la poche ou d’avoir les moyens humains pour pouvoir le réussir », le plus important, «Ce sont les Sénégalais qui vont accueillir leur ancien président et tous ceux que je rencontre dans la rue me disent que Me Wade mérite d’être accueilli et le PDS a le devoir d’organiser tout cela ».
Un retour toutefois « marqué » par le fait que le « PDS peine à asseoir son leadership dans l’échiquier politique faute d’une direction qui comprend les enjeux de l’heure » et « la traque d’opposants supposés être riches ». Ce qui n’est pas sans désagréments dans les préparatifs du retour de Wade car pour le porte-parole des libéraux sur les ondes de la Rfm, le constat est là : « Le PDS peine a trouvé les ressources matérielles et financières pour mener à bien ses activités ». Alors que pour « ce jour exceptionnel du 23 avril » face à des « Sénégalais qui peinent à se retrouver dans les politiques mises en œuvre par Macky Sall », que « certains responsables du PDS débloquent des moyens pour aider sur le transport des militants ne serait pas de refus ».
A cet effet, « s’il appelle Pape Diop pour lui annoncer son retour, c’est tout à fait normal. Me Wade est en train d’informer tous ses amis et Pape Diop en fait partie même si on a constaté une petite bouderie politique après la défaite de 2012 ». Pour le responsable libéral, ce 23 avril, « il ne s’agit uniquement de mobiliser les Sénégalais pour accueillir le président Wade, de mettre la main à la poche ou d’avoir les moyens humains pour pouvoir le réussir », le plus important, «Ce sont les Sénégalais qui vont accueillir leur ancien président et tous ceux que je rencontre dans la rue me disent que Me Wade mérite d’être accueilli et le PDS a le devoir d’organiser tout cela ».
Un retour toutefois « marqué » par le fait que le « PDS peine à asseoir son leadership dans l’échiquier politique faute d’une direction qui comprend les enjeux de l’heure » et « la traque d’opposants supposés être riches ». Ce qui n’est pas sans désagréments dans les préparatifs du retour de Wade car pour le porte-parole des libéraux sur les ondes de la Rfm, le constat est là : « Le PDS peine a trouvé les ressources matérielles et financières pour mener à bien ses activités ». Alors que pour « ce jour exceptionnel du 23 avril » face à des « Sénégalais qui peinent à se retrouver dans les politiques mises en œuvre par Macky Sall », que « certains responsables du PDS débloquent des moyens pour aider sur le transport des militants ne serait pas de refus ».
Autres articles
-
Sonko s'attaque au système judiciaire : "nous avons besoin de magistrats sérieux, pas des comploteurs"
-
Ousmane Sonko met fin aux spéculations sur son éligibilité : « Rien ne peut m’empêcher d’être candidat »
-
Fonds alloués aux victimes de 2021-2024 : seulement 1,8 milliard débloqué, Maimouna Dièye s’explique sur les retards
-
Bénin : Patrice Talon assure avoir "nettoyé les dernières poches de résistance des mutins"
-
Tentative de coup d’Etat au Bénin : la CEDEAO "a ordonné le déploiement immédiat d'éléments de la Force en attente"





Sonko s'attaque au système judiciaire : "nous avons besoin de magistrats sérieux, pas des comploteurs"


