
Le gouvernement sénégalais a annoncé une levée temporaire de l'interdiction d'exporter des graines d'arachide, en vigueur depuis octobre 2024. Cette décision intervient après un "bon niveau de collecte des semences et des graines pour l'huilerie", selon un communiqué du ministère de l'Agriculture.
Les exportations seront autorisées du 25 mars au 15 juin 2025, à l'exception des graines à valeur semencière. Cependant, cette réouverture est soumise à plusieurs exigences : "contrôle qualité obligatoire par la Direction de la Protection des Végétaux, Respect du prix plancher fixé par les autorités, rapatriement des devises conformément à la réglementation des changes, Justificatifs exigés pour chaque nouvelle opération d'exportation. "
La suspension initiale, instaurée par circulaire n°01548 du 29 octobre 2024, visait à mieux organiser la campagne agricole 2024-2025. Les autorités précisent que cette mesure avait permis d'atteindre des "niveaux satisfaisants" de collecte, justifiant ainsi son assouplissement.
Les exportateurs devront désormais obtenir un certificat phytosanitaire pour chaque expédition, document qui reste "obligatoire avant toute opération", rappelle le département dirigé par Dr Mabouba Diagne.
Les exportations seront autorisées du 25 mars au 15 juin 2025, à l'exception des graines à valeur semencière. Cependant, cette réouverture est soumise à plusieurs exigences : "contrôle qualité obligatoire par la Direction de la Protection des Végétaux, Respect du prix plancher fixé par les autorités, rapatriement des devises conformément à la réglementation des changes, Justificatifs exigés pour chaque nouvelle opération d'exportation. "
La suspension initiale, instaurée par circulaire n°01548 du 29 octobre 2024, visait à mieux organiser la campagne agricole 2024-2025. Les autorités précisent que cette mesure avait permis d'atteindre des "niveaux satisfaisants" de collecte, justifiant ainsi son assouplissement.
Les exportateurs devront désormais obtenir un certificat phytosanitaire pour chaque expédition, document qui reste "obligatoire avant toute opération", rappelle le département dirigé par Dr Mabouba Diagne.
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