C'est le scénario le plus « normal » qui se dessine, à en croire ces derniers sondages : d'un mois à l'autre, les Français gardent leur « cohérence », pour reprendre un autre mot du vocabulaire hollandais. Les socialistes pourraient même décrocher la majorité absolue, fixée à 289 sièges, comme en 1981, après l'élection de
A cet égard, les sondeurs le constatent, le « tweetgate », l'affaire du Tweet de Valérie Trierweiler, ne semble pas avoir d'influence sur le second tour. Les Français, eux, sauraient faire la part des choses entre la politique et la vie privée.
La victoire de la gauche semblant acquise, les appétits s'aiguisent pour le perchoir, la présidence de l'Assemblée nationale, promise jusqu'ici à Ségolène Royal. Claude Bartolone, qui pensait entrer au gouvernement, y réfléchit à voix haute. Il y a aussi Jack Lang, l'éternel candidat et puis, en embuscade, Jean Glavany, proche de Lionel Jospin.
A La Rochelle, on raconte le scénario le plus machiavélique : l'ancien Premier ministre n'aurait rien fait pour décourager le dissident Olivier Falorni, pour humilier Ségolène Royal et ouvrir la voie du perchoir au directeur de sa campagne de 2002.
François Mitterrand.
Le couple Hollande-Ayrault aurait alors les coudées franches, sans dépendre d'alliés plus ou moins turbulents et plus ou moins fiables, Europe Ecologie-Les Verts et le Front de Gauche.
Source : RFI
A cet égard, les sondeurs le constatent, le « tweetgate », l'affaire du Tweet de Valérie Trierweiler, ne semble pas avoir d'influence sur le second tour. Les Français, eux, sauraient faire la part des choses entre la politique et la vie privée.
La victoire de la gauche semblant acquise, les appétits s'aiguisent pour le perchoir, la présidence de l'Assemblée nationale, promise jusqu'ici à Ségolène Royal. Claude Bartolone, qui pensait entrer au gouvernement, y réfléchit à voix haute. Il y a aussi Jack Lang, l'éternel candidat et puis, en embuscade, Jean Glavany, proche de Lionel Jospin.
A La Rochelle, on raconte le scénario le plus machiavélique : l'ancien Premier ministre n'aurait rien fait pour décourager le dissident Olivier Falorni, pour humilier Ségolène Royal et ouvrir la voie du perchoir au directeur de sa campagne de 2002.
François Mitterrand.
Le couple Hollande-Ayrault aurait alors les coudées franches, sans dépendre d'alliés plus ou moins turbulents et plus ou moins fiables, Europe Ecologie-Les Verts et le Front de Gauche.
Source : RFI
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