Au départ il s’agissait d’une course pour l’aéroport de Diass, finalement, le taximan s’est vu déposséder de ses 45.000 francs. Cet individu est assurément un as de la filouterie, lui qui a réussi à rouler dans la farine un « taximan » qui rêvait d’une belle journée avec des recettes exceptionnelles.
En effet, c'est ce mercredi dans l’après midi vers les coups 17 heures, devant une auberge sise à la Scat Urbam, qu’un client a sollicité les services d'un chauffeur de taxi. Il devait d’abord déposer à la Médina la dame qui accompagnait le Monsieur qui avait requis ses services à la Médina avant de filer à l’aéroport de Diass.
Arrivé à la Médina, le client sollicite du taximan la somme de 10 000 francs qu’il remet à la dame. Après quoi, il prie son chauffeur du jour de le déposer au marché des Hlm5 où il devait récupérer ses ‘’kaftans’’ chez son tailleur avant de rallier l’aéroport de Diass.
Une fois au marché HLM5, l’indélicat sort du taxi pour revenir encore solliciter un prêt de 35000 FCFA qu’il devait remettre au tailleur. Ne flairant pas le coup, le taximan crédule lui remet l’argent demandé. Après une attente de 15 à 20 minutes, le bonhomme revient le téléphone collé à l’oreille et invite le chauffeur à le dé- poser à Castors où il devrait récupérer 100 000 FCFA chez un ami pour pouvoir le payer.
Le chauffeur commençait d’autant plus à douter du sérieux de ce client particulier qu’il lui avait parlé auparavant d’un retrait d’Orange money. Toutefois, le passager se mit à lui raconter plein d’histoires si bien qu’il baissa la garde. A Castors, le gars entre dans une maison et prie le taximan de patienter le temps pour lui de récupérer l’argent pour pouvoir le payer.
Les minutes s’écoulent puis, las d’attendre, le malheu- reux, après avoir cherché dans les environs, s’est rendu à l’évidence qu’on venait de lui jouer un sale tour. Désemparé, il a déposé une plainte contre X.
Le Témoin
En effet, c'est ce mercredi dans l’après midi vers les coups 17 heures, devant une auberge sise à la Scat Urbam, qu’un client a sollicité les services d'un chauffeur de taxi. Il devait d’abord déposer à la Médina la dame qui accompagnait le Monsieur qui avait requis ses services à la Médina avant de filer à l’aéroport de Diass.
Arrivé à la Médina, le client sollicite du taximan la somme de 10 000 francs qu’il remet à la dame. Après quoi, il prie son chauffeur du jour de le déposer au marché des Hlm5 où il devait récupérer ses ‘’kaftans’’ chez son tailleur avant de rallier l’aéroport de Diass.
Une fois au marché HLM5, l’indélicat sort du taxi pour revenir encore solliciter un prêt de 35000 FCFA qu’il devait remettre au tailleur. Ne flairant pas le coup, le taximan crédule lui remet l’argent demandé. Après une attente de 15 à 20 minutes, le bonhomme revient le téléphone collé à l’oreille et invite le chauffeur à le dé- poser à Castors où il devrait récupérer 100 000 FCFA chez un ami pour pouvoir le payer.
Le chauffeur commençait d’autant plus à douter du sérieux de ce client particulier qu’il lui avait parlé auparavant d’un retrait d’Orange money. Toutefois, le passager se mit à lui raconter plein d’histoires si bien qu’il baissa la garde. A Castors, le gars entre dans une maison et prie le taximan de patienter le temps pour lui de récupérer l’argent pour pouvoir le payer.
Les minutes s’écoulent puis, las d’attendre, le malheu- reux, après avoir cherché dans les environs, s’est rendu à l’évidence qu’on venait de lui jouer un sale tour. Désemparé, il a déposé une plainte contre X.
Le Témoin
Autres articles
-
Collectif des féministes : Pour la réforme du Code de la famille et la reconnaissance du féminicide
-
Grand Yoff : deux individus arrêtés pour cambriolages en série et blanchiment de capitaux
-
Kédougou : les fidèles invités à prier pour les enfants et chrétiens privés de Noël
-
Noël 2025 : le Président Bassirou Diomaye Faye adresse un message de paix et de solidarité à la communauté chrétienne
-
Université de Kolda : le directeur du CROUS/Z justifie la fermeture du restaurant




Collectif des féministes : Pour la réforme du Code de la famille et la reconnaissance du féminicide


