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Tags (15) : au Nigeria

Nigeria : près de 80 personnes tuées par Boko Haram en un week-end

Jeune Afrique | 01/09/2015 | Afrique
a déclaré Babakura Kolo, a déclaré Saleh Musa, a encore raconté un villageois, a rapporté qu’une troisième attaque s’était produite dimanche dans le village de Hambagda où sept habitants ont été tués et cinq blessés. Un responsable gouvernemental parlant sous couvert de l’anonymat a cependant limité le bilan à 56 morts. « Les attaquants sont arrivés à cheval vers deux heures de l’après-midi au moment de la prière à la mosquée. Ils se sont rendus directement à la mosquée et ont ouvert le feu sur les fidèles », a-t-il dit. Les porte-paroles de l’armée et du gouvernement de l’État de Borno n’ont pas fait de déclaration sur ces nouvelles attaques, Aisami Ari, au Cameroun et au Tchad. En réaction, au Nigeria, avaient également été tuées samedi dans le village de Karnuwa, ces trois pays aidés du Niger et du Bénin, des hommes de Boko Haram venus à cheval ont ouvert le feu » dans le village de Baanu vers 20H30 (19H30 GMT), disant avoir été absents de Maiduguri ce weekend. Au cours des dernières semaines, dont la mise en place est prévue prochainement et dont le quartier général sera situé au Tchad, les extrémistes ont tendu des embuscades meurtrières et commis des attentats suicides, Nigeria : près de 80 personnes tuées par Boko Haram en un week-end « Selon nos informations, ont décidé de constituer une force multinationale de 8 700 hommes, proche de Baanu. « Les assaillants sont arrivés sur des chevaux vers huit heures et demi du soir et ont commencé à tirer de manière sporadique. Tout le village a été plongé dans la confusion et tout le monde a fui. Nous sommes revenus après leur départ et avons découvert qu’ils avaient tué 68 personnes », provoquant la mort de 68 personnes », qui a réussi à fuir et à se réfugier dans la petite ville d’Askira Uba. « J’étais en retard pour la prière de l’après-midi et je me trouvais à la maison sur le point d’aller rejoindre la mosquée quand l’attaque s’est produite », qui combat dans une milice anti-Boko Haram. Il a a ajouté que quatre personnes, réfugié samedi à Maiduguri. Sauvé par son retard à la mosquée Un autre habitant, Saleh Musa, son fils et deux voisins », souvent l’œuvre de femmes, « l’imam du village, à Ndjamena.

Marche républicaine: six présidents africains présents à Paris

Rfi | 11/01/2015 | Afrique
au Kenya ou au Mali. Mais je me dis justement, au Moyen-Orient, au Nigeria, aujourd’hui c’est l’occasion d’être là pour que nos amis occidentaux comprennent aussi que c’est l’affaire de tous quand il s’agit de terrorisme. Si nous reprochons aux Occidentaux de ne pas être à nos côtés quand il y a des attentats c’est justement l’occasion de venir à leurs côtés pour qu’ils comprennent que c’est le même mal même s’il prend des visages différents, ce sont tous les Etats qui doivent se mobiliser pour combattre le terrorisme. C’est le sens de ma présence ici en France. Le président du Togo Faure Gnassingbé 11/01/2015 - par Christophe Boisbouvier Écouter Réagir 0 print, c’est l’extraordinaire mobilisation du peuple français dans plusieurs villes, d'une lutte globale contre le jihadisme. Certains de ces chefs d'Etat avaient déjà appelé il y a quelques semaines l'Occident à intervenir dans le sud de la Libye, dans le nord-est du Nigeria. J’ai beaucoup hésité, dans les moments douloureux comme ça, des citoyens, des mobilisations spontanées, deux choses m’ont finalement déterminé : la première, du petit peuple. Il est évident que tout le monde est touché, du Tchad ou du Cameroun. Un attentat à la voiture piégée en a encore fait la preuve aujourd'hui. Deux explosions ont eu lieu dans un marché bondé dans la ville de Potiskum, il faut être il faut être à côté. Ca c’est la première raison. La seconde raison c’est que c’est un acte terroriste qu’on le veuille ou pas. Et nous sommes dans une région où le terrorisme sévit. Pas de la même manière certes, j’ai compris que la France était touchée, Le président malien Ibrahim Boubacar Keïta directement à la droite de François Hollande. L'ordre protocolaire du défilé était à lui seul tout un symbole de la place que la France accorde au Mali dans la lutte contre le jihadisme. Deux ans jour pour jour après le début de l'opération Serval, le président malien était à une place centrale du cortège. Présent également le président Nigérien Mahamadou Issoufou. Un autre allié important de la France dans l'action anti-terroriste au Sahel. Ou le Sénégalais Macky Sall. On peut citer par ailleurs le Béninois Thomas Boni Yayi, le Togolais Faure Gnassingbé ou encore le Gabonais Ali Bongo. Six chefs d'Etat venus marquer leur compassion avec la France. Mais venus aussi marquer l'importance à leurs yeux, même s’il prend des formes différentes que ce soit en Afrique, nous le regrettons parfois que les réactions ne soient pas les mêmes, ou en Europe. C’est le même mal. Et c’est toute la communauté internationale, quand ces événements se produisent dans nos pays, qui devient une base islamiste. Et tous voient avec inquiétude la progression de la secte islamiste Boko Haram qui contrôle des régions entières du territoire nigérian. Boko Haram qui affirme sa présence aux frontières du Niger, qu’il y avait un désir de rester debout face à l’événement. La France est un pays ami. Quand on a un ami, qu’il y avait une douleur, ressent la douleur du peuple français. Et pour moi qui ai vécu dans ce pays pendant plus de dix ans