« Le Président de la République Macky Sall a décidé le 03 février 2024 d’abroger le décret portant convocation du corps électoral pour repousser l’élection présidentielle qui doit se tenir le 25 février prochain. Dans le même sillage, l’Assemblée nationale a, dans la précipitation, adopté le lundi 05 février une proposition de loi tendant à reporter le scrutin au 15 décembre 2024. L’Amicale des Cadres Musulmans du Sénégal (ACMS) désapprouve cette mesure inopportune, grave et ne reposant sur aucun fondement juridique solide », lit-on dans le communiqué de l’Amcs.
Cette association de cadres musulmans invite Macky Sall à veiller au respect du calendrier électoral, tout en lui rappelant la liberté du peuple de choisir son président. Par conséquent affirme-t-elle , » aucun artifice juridique ne saurait être utilisé pour priver le Peuple souverain de ce droit fondamental l’ACMS appelle toutes les forces vives de la Nation à maintenir la mobilisation citoyenne pour la tenue du scrutin à bonne date et permettre au Président sortant de transmettre pacifiquement le pouvoir à son successeur le 02 avril 2024, comme il s’était solennellement engagé dans ses discours du 03 juillet et du 31 décembre 2023 ».
« Le Président de la République Macky Sall a décidé le 03 février 2024 d’abroger le décret portant convocation du corps électoral pour repousser l’élection présidentielle qui doit se tenir le 25 février prochain. Dans le même sillage, l’Assemblée nationale a, dans la précipitation, adopté le lundi 05 février une proposition de loi tendant à reporter le scrutin au 15 décembre 2024. L’Amicale des Cadres Musulmans du Sénégal (ACMS) désapprouve cette mesure inopportune, grave et ne reposant sur aucun fondement juridique solide », lit-on dans le communiqué de l’Amcs.
Cette association de cadres musulmans invite Macky Sall à veiller au respect du calendrier électoral, tout en lui rappelant la liberté du peuple de choisir son président. Par conséquent affirme-t-elle , » aucun artifice juridique ne saurait être utilisé pour priver le Peuple souverain de ce droit fondamental l’ACMS appelle toutes les forces vives de la Nation à maintenir la mobilisation citoyenne pour la tenue du scrutin à bonne date et permettre au Président sortant de transmettre pacifiquement le pouvoir à son successeur le 02 avril 2024, comme il s’était solennellement engagé dans ses discours du 03 juillet et du 31 décembre 2023 ».
En outre, l’Acms a déploré le retrait de la licence du groupe de presse Walfadrjri. Qui, d’après ces cadres musulmans, a beaucoup contribué à l’encrage et au rayonnement de la démocratie au Sénégal.
Cette association de cadres musulmans invite Macky Sall à veiller au respect du calendrier électoral, tout en lui rappelant la liberté du peuple de choisir son président. Par conséquent affirme-t-elle , » aucun artifice juridique ne saurait être utilisé pour priver le Peuple souverain de ce droit fondamental l’ACMS appelle toutes les forces vives de la Nation à maintenir la mobilisation citoyenne pour la tenue du scrutin à bonne date et permettre au Président sortant de transmettre pacifiquement le pouvoir à son successeur le 02 avril 2024, comme il s’était solennellement engagé dans ses discours du 03 juillet et du 31 décembre 2023 ».
« Le Président de la République Macky Sall a décidé le 03 février 2024 d’abroger le décret portant convocation du corps électoral pour repousser l’élection présidentielle qui doit se tenir le 25 février prochain. Dans le même sillage, l’Assemblée nationale a, dans la précipitation, adopté le lundi 05 février une proposition de loi tendant à reporter le scrutin au 15 décembre 2024. L’Amicale des Cadres Musulmans du Sénégal (ACMS) désapprouve cette mesure inopportune, grave et ne reposant sur aucun fondement juridique solide », lit-on dans le communiqué de l’Amcs.
Cette association de cadres musulmans invite Macky Sall à veiller au respect du calendrier électoral, tout en lui rappelant la liberté du peuple de choisir son président. Par conséquent affirme-t-elle , » aucun artifice juridique ne saurait être utilisé pour priver le Peuple souverain de ce droit fondamental l’ACMS appelle toutes les forces vives de la Nation à maintenir la mobilisation citoyenne pour la tenue du scrutin à bonne date et permettre au Président sortant de transmettre pacifiquement le pouvoir à son successeur le 02 avril 2024, comme il s’était solennellement engagé dans ses discours du 03 juillet et du 31 décembre 2023 ».
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