Les étudiants de l’Université Assane Seck de Ziguinchor (UASZ) sont révoltés par le retard de l’équipement du pavillon portant sur un lot de 1000 lits dont la livraison était prévue en mars 2023.
Remontée contre les « engagements » du ministre de l’Enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation (MESRI), Moussa Baldé, de la coordination des étudiants de l’université Assane Seck de Ziguinchor ont décidé d’occuper mercredi les bâtiments édifice sans attendre l’inauguration officielle par les autorités. D’ailleurs, selon Libération, les premiers étudiants ont déménagé dans ledit pavillon.
« Nous sommes écœurés et désespérés. Et pour cause, nos conditions d’études et de vie sont désastreuses au sein du temple du savoir », a déclaré le porte-parole de la coordination, Adèle Diatta. Elle a ajouté : « les autorités rectorales et le ministre Moussa Baldé n’ont jamais respecté leur engagement. Voilà un an, les travaux n’ont jamais été achevés». Les pavillons qui ceinturent notre université, poursuit-elle, qui grandit tous les ans ne peuvent plus contenir les étudiants.
La coordination dit ne pas comprendre les « raisons du retard de livraison ». C’est « Cheikh Oumar Hann qui nous avait dit que le chantier aller être livré, mais, jusque-là, il n’y a rien », a considéré Adèle Diatta, devant ses camarades. Dénonçant le silence et l’indifférence du MESRI, la coordination dit « agir de la sorte pour amoindrir les souffrances que certains de leurs camarades endurent en payant à un coup très élevé les appartements de location situés aux alentours du campus social.
Remontée contre les « engagements » du ministre de l’Enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation (MESRI), Moussa Baldé, de la coordination des étudiants de l’université Assane Seck de Ziguinchor ont décidé d’occuper mercredi les bâtiments édifice sans attendre l’inauguration officielle par les autorités. D’ailleurs, selon Libération, les premiers étudiants ont déménagé dans ledit pavillon.
« Nous sommes écœurés et désespérés. Et pour cause, nos conditions d’études et de vie sont désastreuses au sein du temple du savoir », a déclaré le porte-parole de la coordination, Adèle Diatta. Elle a ajouté : « les autorités rectorales et le ministre Moussa Baldé n’ont jamais respecté leur engagement. Voilà un an, les travaux n’ont jamais été achevés». Les pavillons qui ceinturent notre université, poursuit-elle, qui grandit tous les ans ne peuvent plus contenir les étudiants.
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