Vingt-neuf villes et localités du Sénégal ont été identifiées à travers une étude basée sur le Modèle numérique de terrain (MNT) comme étant les plus vulnérables aux inondations, des phénomènes naturels devenus récurrents du fait du changement climatique, a indiqué lundi le directeur de la Prévention et de gestion des inondations (DPGI), Madické Cissé.
Au Sud-Est du pays, il y a ‘’les villes et localités de Ziguinchor, Kolda, Kédougou, et Tambacounda contre celles de Koungheul, Kaffrine, Kaolack, Birkelane, Sadio, Diourbel, Fatick, Bambey, Touba ou encore Linguère pour la zone Centre’’, a dit M. Cissé à l'APS.
Sur la partie Ouest-Nord du pays, les villes les plus exposées aux inondations sont, ‘’Joal-Fadiouth, Mbour, Thiès, Dakar, Louga, Saint-Louis’’ tandis qu’on a ‘’Richard-Toll, Rosso, Rosso-Bethio, Podor dans la partie Nord et Matam, Waoundé, Kanel, Bakel, Moudéry’’, à l’Est du pays, a-t-il ajouté dans un entretien accordé à l’APS.
Grace à l’utilisation du Modèle numérique de terrain sur l’ensemble du territoire national, nous avons pu constater que ‘’toutes ces villes, sont construites sur des zones basses, des voies d’eau, des cuvettes ou encore sur des lits de cours d’eau’, a-t-il indiqué.
Il a expliqué que l’étude du MNT repose sur une modélisation numérique qui consiste à enlever les bâtiments et les arbres, à la surface plane de la terre, pour identifier uniquement les cours d’eau de l’ensemble du territoire national.
Ces 29 villes vulnérables, a-t-il ajouté, regroupent actuellement environ 2 millions d’habitants exposés aussi à des phénomènes d’inondations de pluies extrêmes.
Au Sud-Est du pays, il y a ‘’les villes et localités de Ziguinchor, Kolda, Kédougou, et Tambacounda contre celles de Koungheul, Kaffrine, Kaolack, Birkelane, Sadio, Diourbel, Fatick, Bambey, Touba ou encore Linguère pour la zone Centre’’, a dit M. Cissé à l'APS.
Sur la partie Ouest-Nord du pays, les villes les plus exposées aux inondations sont, ‘’Joal-Fadiouth, Mbour, Thiès, Dakar, Louga, Saint-Louis’’ tandis qu’on a ‘’Richard-Toll, Rosso, Rosso-Bethio, Podor dans la partie Nord et Matam, Waoundé, Kanel, Bakel, Moudéry’’, à l’Est du pays, a-t-il ajouté dans un entretien accordé à l’APS.
Grace à l’utilisation du Modèle numérique de terrain sur l’ensemble du territoire national, nous avons pu constater que ‘’toutes ces villes, sont construites sur des zones basses, des voies d’eau, des cuvettes ou encore sur des lits de cours d’eau’, a-t-il indiqué.
Il a expliqué que l’étude du MNT repose sur une modélisation numérique qui consiste à enlever les bâtiments et les arbres, à la surface plane de la terre, pour identifier uniquement les cours d’eau de l’ensemble du territoire national.
Ces 29 villes vulnérables, a-t-il ajouté, regroupent actuellement environ 2 millions d’habitants exposés aussi à des phénomènes d’inondations de pluies extrêmes.
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