Coutumière du fait, la place de l’Obélisque a renoué avec la contestation cet après-midi du fait du PDS qui a montré son courroux contre la mise sous mandat de dépôt de Karim Wade et la vie chère.
A cet effet, les libéraux ont ressorti les affiches électorales de l’ancien président Abdoulaye Wade et brandi des pancartes sur lesquelles on peut lire, "libérez Karim", "Non aux homosexuels", "Alerte rouge, le pays va mal", "Non à la justice des vainqueurs", "Macky =Staline" ou encore "CREI=Gestapo".
Prévue à 14h30, la marche a toutefois débuté dans la cacophonie.
En effet, les militants piaffant d’impatience, n’en pouvaient plus d’attendre Oumar Sarr et Cie, entament le pas en entonnant "Libérez Karim", sous la houlette de Massaly à 16h10.
Le pas alerte, ils font vibrer les Allées du centenaire, et la Poste de Médina en passant par le Rond point de la RTS, de quolibets les uns plus osés que les autres à l’endroit du président et son gouvernement sous le regard surpris des populations locales.
Bien présents à la poste de Médina où devait s’arrêter la marche, Oumar Sarr, Ousmane Ngom, Madické Niang, Aïda Mbodj, Aïda Ndiongue, Mamadou Lamine Keïta,…ont improvisé un meeting face à la foule.
L'apothéose sera totale lorsque vers 17h35, l'ancien président de la république, Abdoulaye Wade a appelé au téléphone pour participer à sa façon à la marche
Toutefois, les libéraux ont tenu à prévenir que cette marche n’est qu’une avant-première et que pour cette fois-ci, ils ont respecté l’itinéraire mais pour le reste, tout peut arriver.
Ça sent mauvais dans l’air.
A cet effet, les libéraux ont ressorti les affiches électorales de l’ancien président Abdoulaye Wade et brandi des pancartes sur lesquelles on peut lire, "libérez Karim", "Non aux homosexuels", "Alerte rouge, le pays va mal", "Non à la justice des vainqueurs", "Macky =Staline" ou encore "CREI=Gestapo".
Prévue à 14h30, la marche a toutefois débuté dans la cacophonie.
En effet, les militants piaffant d’impatience, n’en pouvaient plus d’attendre Oumar Sarr et Cie, entament le pas en entonnant "Libérez Karim", sous la houlette de Massaly à 16h10.
Le pas alerte, ils font vibrer les Allées du centenaire, et la Poste de Médina en passant par le Rond point de la RTS, de quolibets les uns plus osés que les autres à l’endroit du président et son gouvernement sous le regard surpris des populations locales.
Bien présents à la poste de Médina où devait s’arrêter la marche, Oumar Sarr, Ousmane Ngom, Madické Niang, Aïda Mbodj, Aïda Ndiongue, Mamadou Lamine Keïta,…ont improvisé un meeting face à la foule.
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