
48 Heures seulement après la sortie de la sanglante missive du collectif des avocats de Karim Wade, « traduisant» Macky Sall et son régime devant le Secrétaire Général de la Francophonie et les différents chefs d’Etat devant prendre part au XVe sommet, la réplique a été portée par les avocats de la partie civile (Etat du Sénégal).
Mr William Bourdon et ses confrères, ont en effet, après avoir assimilé la démarche de Karim Wade à de la « victimisation », démonté les arguments soulevés par Me Seydou Diagne et sa bande, au sujet des commissions rogatoires de Monaco et de Singapour qui se seraient révélées vaines.
Selon Me Bourdon et ses collègues, « la défense de Monsieur Karim Wade trompe l’opinion publique quand elle affirme que les commissions rogatoires de Monaco et de Luxembourg n’ont rien donné. Les faits objectifs tels qu’il ressort du dossier démontrent le contraire »
En effet, « Monsieur Karim Wade sait mieux que quiconque que ces commissions rogatoires ont permis de démontrer, le fait que depuis des années, alors qu’il était au pouvoir a externalisé une partie de ses richesses, via des prête-noms et des faux-nez. »
Et d’ailleurs « Le peuple sénégalais doit être fier de vivre dans le premier état d’Afrique où se tient le procès d’un ancien responsable public de 1er rang, qui en abusant de son pouvoir, a appauvri les ressources publiques du pays. » concluent les avocats de l'état.
Mr William Bourdon et ses confrères, ont en effet, après avoir assimilé la démarche de Karim Wade à de la « victimisation », démonté les arguments soulevés par Me Seydou Diagne et sa bande, au sujet des commissions rogatoires de Monaco et de Singapour qui se seraient révélées vaines.
Selon Me Bourdon et ses collègues, « la défense de Monsieur Karim Wade trompe l’opinion publique quand elle affirme que les commissions rogatoires de Monaco et de Luxembourg n’ont rien donné. Les faits objectifs tels qu’il ressort du dossier démontrent le contraire »
En effet, « Monsieur Karim Wade sait mieux que quiconque que ces commissions rogatoires ont permis de démontrer, le fait que depuis des années, alors qu’il était au pouvoir a externalisé une partie de ses richesses, via des prête-noms et des faux-nez. »
Et d’ailleurs « Le peuple sénégalais doit être fier de vivre dans le premier état d’Afrique où se tient le procès d’un ancien responsable public de 1er rang, qui en abusant de son pouvoir, a appauvri les ressources publiques du pays. » concluent les avocats de l'état.
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