La crise universiatire transformée en bras de faire entre les étudiants des universités du Sénégal et les autorités à cause des réformes et qui a vu l’entrée des syndicats de l’enseignement avec l’audit physique et biométrique de l’Etat a finit de perturber sérieusement la communauté scolaire. Cette crise n’a pas laissée indifférente la société civile et même la diplomatie dont l’Ambassadeur des Etats Unies qui a réagi à travers ce message :
"C’est fantastique de voir que la plupart des élèves sénégalais reprendre les cours au début de la deuxième semaine de janvier. La rentrée a concerné les élèves du primaire et du secondaire, les étudiants des universités privées, et ceux de quelques facultés des universités publiques. Cependant, la grande majorité des étudiants des universités publiques attendent toujours le début de leur «année scolaire 2013 – 2014»; ce qui est regrettable, non seulement pour eux et leurs familles, mais aussi pour ce pays. Les étudiants, les parents, les professeurs, les administrateurs, les autorités gouvernementales, les journalistes et les membres de la société civile ont tous été fortement impliqués pour apporter des solutions à ce problème. Et, j’ai compris qu'il pourrait y avoir une solution qui permettra aux universités publiques de refaire ce qu'elles doivent faire et peuvent encore bien faire avec les bonnes réformes; façonner l'avenir d'une grande partie de la jeunesse du Sénégal. Puisqu’il n’y a sans doute rien de plus important que l'éducation, j'espère qu'une solution sera bientôt trouvée."
"C’est fantastique de voir que la plupart des élèves sénégalais reprendre les cours au début de la deuxième semaine de janvier. La rentrée a concerné les élèves du primaire et du secondaire, les étudiants des universités privées, et ceux de quelques facultés des universités publiques. Cependant, la grande majorité des étudiants des universités publiques attendent toujours le début de leur «année scolaire 2013 – 2014»; ce qui est regrettable, non seulement pour eux et leurs familles, mais aussi pour ce pays. Les étudiants, les parents, les professeurs, les administrateurs, les autorités gouvernementales, les journalistes et les membres de la société civile ont tous été fortement impliqués pour apporter des solutions à ce problème. Et, j’ai compris qu'il pourrait y avoir une solution qui permettra aux universités publiques de refaire ce qu'elles doivent faire et peuvent encore bien faire avec les bonnes réformes; façonner l'avenir d'une grande partie de la jeunesse du Sénégal. Puisqu’il n’y a sans doute rien de plus important que l'éducation, j'espère qu'une solution sera bientôt trouvée."
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