Le Conseil de sécurité des Nations unies avait déjà condamné le coup de force en Guinée-Bissau. Cette fois, les quinze membres font un pas supplémentaire en évoquant de possibles sanctions ciblées contre les auteurs du coup d'Etat militaire et de leurs partisans.
Le Conseil de sécurité rejette la formation d’un Conseil national de transition annoncée par la junte et demande la restauration du « gouvernement légitime » de Guinée-Bissau et la libération du président Raimundo Pereira et de son Premier ministre Carlos Gomes.
La menace semble avoir eu un effet puisque la junte a immédiatement fait un pas en arrière à Bissau, assurant que l’accord de transition n’était qu’une proposition.
Les représentants des pays lusophones (Brésil, Angola, Portugal) ont appelé au déploiement d’une force de l’ONU en Guinée-Bissau, au cours d’une réunion d’urgence à New York, mais le Conseil se contente pour l’instant de soutenir les mesures prises par la Cédéao et l’Union africaine.
Le Conseil de sécurité rejette la formation d’un Conseil national de transition annoncée par la junte et demande la restauration du « gouvernement légitime » de Guinée-Bissau et la libération du président Raimundo Pereira et de son Premier ministre Carlos Gomes.
La menace semble avoir eu un effet puisque la junte a immédiatement fait un pas en arrière à Bissau, assurant que l’accord de transition n’était qu’une proposition.
Les représentants des pays lusophones (Brésil, Angola, Portugal) ont appelé au déploiement d’une force de l’ONU en Guinée-Bissau, au cours d’une réunion d’urgence à New York, mais le Conseil se contente pour l’instant de soutenir les mesures prises par la Cédéao et l’Union africaine.
RFI
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