Le désordre a été énorme hier lors de la rencontre entre Macky Sall et les femmes qui tenaient à l’honorer suite à l’adoption de la loi autorisant la femme sénégalaise à transmettre la nationalité à son conjoint et ses enfants. En effet, avant l’arrivée du président de la République, le professeur Amsatou Sow Sidibé qui a vu le protocole lui refuser l’accès au présidium au profit de Mariama Sarr, Aminata Mbengue Ndiaye, Arame Ndoye et Seynabou Gaye Touré, a été plus que bouleversée par ce traitement. Ne pouvant pas supporter cette humiliation qu’elle a pourtant vécue avec l’ambassadeur itinérant, Diouma Dieng Diakhaté, la ministre-conseillère à la Présidence s’effondre en larmes et quitte les lieux.
Et comme si le sort s’acharnait sur elle, la candidate malheureuse de la dernière présidentielle est stoppée à hauteur de la Salles des banquets par la sécurité qui lui fait comprendre qu’elle ne peut pas franchir la porte de sortie du fait que celle-ci est bloquée jusqu’à l’arrivée du chef de l’Etat. Déterminée à quitter les lieux, elle sert au gendarme : « Je dois partir, je ne peux pas rester une seconde de plus, laissez moi passer s’il vous plaît. Puisqu’on m’a refuséé d’accéder au présidium comme toutes les autres personnalités, permettez que je puisse sortir. Je suis un ministre-conseiller et on ne me manque pas de respect ». Toutefois, devant le niet catégorique, mais poli du gendarme, le leader de CAR LENEN s’indigne encore par des pleurs avant que ses amis ne la conduisent dans un coin pour la calmer.
Interrogée par nos confrères de « L’as » sur l’identité de ceux qui lui ont « manqué de respect », Amsatou Sow Sidibé accuse Pape Samba Diop, membre du protocole chargé d’installer les personnalités au présidium.
Et comme si le sort s’acharnait sur elle, la candidate malheureuse de la dernière présidentielle est stoppée à hauteur de la Salles des banquets par la sécurité qui lui fait comprendre qu’elle ne peut pas franchir la porte de sortie du fait que celle-ci est bloquée jusqu’à l’arrivée du chef de l’Etat. Déterminée à quitter les lieux, elle sert au gendarme : « Je dois partir, je ne peux pas rester une seconde de plus, laissez moi passer s’il vous plaît. Puisqu’on m’a refuséé d’accéder au présidium comme toutes les autres personnalités, permettez que je puisse sortir. Je suis un ministre-conseiller et on ne me manque pas de respect ». Toutefois, devant le niet catégorique, mais poli du gendarme, le leader de CAR LENEN s’indigne encore par des pleurs avant que ses amis ne la conduisent dans un coin pour la calmer.
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