Depuis la nomination de son épouse, M. Mbow se prend en réalité pour le ministre, grognent dans les colonnes de « L’As », les travailleurs du ministère qui racontent qu’ « il la suit comme son ombre, participe à toutes les réunions, s’occupe de tout et de rien. Personne ne sait ce qu’il fait dans le ministère ». Par ailleurs pestent-ils, « même quand Seynabou Gaye Touré se rend à la Présidence de la République pour les besoins de la rencontre du Conseil des ministres, c’est lui qui l’amène et l’attend jusqu’à la fin ».
Des propos qui toutefois, laissent de marbre l’accusé qui soutient que son champ d’action « se limite à faire bénéficier à son épouse de son expertise et de ses conseils ». Pour sa part, Seynabou Gaye Touré qui réplique « il me sert de conseil, c’est mon mari » ne compte pas céder à la pression. « C’est un fonctionnaire qui a travaillé pendant longtemps en Europe. Il connait la diaspora. J’ai le droit comme tout le monde, d’avoir un conseiller. Il n’est pas rétribué. Il me conseille. Il est là et il sera là tant que je serai là », s’est-elle montrée formelle.
Des propos qui toutefois, laissent de marbre l’accusé qui soutient que son champ d’action « se limite à faire bénéficier à son épouse de son expertise et de ses conseils ». Pour sa part, Seynabou Gaye Touré qui réplique « il me sert de conseil, c’est mon mari » ne compte pas céder à la pression. « C’est un fonctionnaire qui a travaillé pendant longtemps en Europe. Il connait la diaspora. J’ai le droit comme tout le monde, d’avoir un conseiller. Il n’est pas rétribué. Il me conseille. Il est là et il sera là tant que je serai là », s’est-elle montrée formelle.
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