Le président de la République est déterminé à révéler tous les secrets qui gravitent autour de l’érection de «la Maison du Sénégal » dans la ville new yorkaise à l’initiative de l’ancien régime d’Abdoulaye Wade. En effet, le dossier qui est confié à deux IGE et présenté comme « sulfureux » commence à étaler des secrets. Après un acompte versé aux propriétaires de l’immeuble, la société immobilière Hotel East 44 th Street LLC, l’Etat du Sénégal serait confronté aux difficultés de payer le reste du montant de la transaction.
A cet effet, pour honorer ses engagements, le régime de Wade à été obligé de faire un emprunt bancaire à court terme d’environ 12,5 milliards de FCFA auprès de la Société Générale de Banques du Sénégal (SGBS) afin de payer le reliquat à la partie américaine. Toutefois, la transaction laissait planer plusieurs suspicions « car le terrain aurait coûté neuf fois plus cher que son prix normal », recueille le journal « L’observateur » au sein du régime.
Cette opération traquée aujourd’hui par l’IGE avait été menée par les deux argentiers de l’Etat que sont Abdoulaye Diop (Finances) et Abdoulaye Diop (Budget). Selon les mêmes sources, le ministre de l’Energie d’alors, Samuel Sarr était au cœur de la transaction et les trois ministres étaient épaulés par l’ambassadeur Paul Badji.
A cet effet, pour honorer ses engagements, le régime de Wade à été obligé de faire un emprunt bancaire à court terme d’environ 12,5 milliards de FCFA auprès de la Société Générale de Banques du Sénégal (SGBS) afin de payer le reliquat à la partie américaine. Toutefois, la transaction laissait planer plusieurs suspicions « car le terrain aurait coûté neuf fois plus cher que son prix normal », recueille le journal « L’observateur » au sein du régime.
Cette opération traquée aujourd’hui par l’IGE avait été menée par les deux argentiers de l’Etat que sont Abdoulaye Diop (Finances) et Abdoulaye Diop (Budget). Selon les mêmes sources, le ministre de l’Energie d’alors, Samuel Sarr était au cœur de la transaction et les trois ministres étaient épaulés par l’ambassadeur Paul Badji.
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