Loin d’être insensible aux bulletins des renseignements généraux qui évoquent les patates chaudes que constituent les délestages, la cherté de la vie, l’emploi des jeunes, la grogne des étudiants,…entre les mains du président, sa conseillère, Zarah Hyane Thiam est monté au créneau pour le prévenir. «Pour les renseignement généraux dont vous parlez, on n’a pas attendu ces bulletins pour identifier les problèmes. Tout acteur politique mouvance comme opposition, doit avoir à l’esprit une seule chose s’il ne met pas le citoyen au centre de ses priorités, ce citoyen prendra toutes ses responsabilités pour mettre quelqu’un qui prendra en charge ses préoccupations», a-t-elle réagi.
A ce propos, convaincue qu’il ne s’agira pas d’ «accélérer la cadence n’importe comment», elle évoque les «priorités» de l’heure.
«Nous sommes en face de trois difficultés qu’il nous faut solutionner. D’abord, l’Etat vit presque des impôts et les citoyens sont tellement fatigués qu’on ne peut pas leur demander de faire un effort supplémentaire. La preuve, il nous a fallu baisser l’impôt sur le revenu pour soulager les populations. A côté, il y a les partenaires au développement, seulement pour rassurer ces derniers, il y a un environnement qui est de mise, cela va de la gouvernance et la transparence. A ce propos, il y a des actes qui sont en train d’être posés. Un troisième cas, c’est l’autofinancement que nous ne pouvons pas pour le moment réaliser», a diagnostiqué Zarah Hyane Thiam, sur les ondes de la RFM.
A ce propos, convaincue qu’il ne s’agira pas d’ «accélérer la cadence n’importe comment», elle évoque les «priorités» de l’heure.
«Nous sommes en face de trois difficultés qu’il nous faut solutionner. D’abord, l’Etat vit presque des impôts et les citoyens sont tellement fatigués qu’on ne peut pas leur demander de faire un effort supplémentaire. La preuve, il nous a fallu baisser l’impôt sur le revenu pour soulager les populations. A côté, il y a les partenaires au développement, seulement pour rassurer ces derniers, il y a un environnement qui est de mise, cela va de la gouvernance et la transparence. A ce propos, il y a des actes qui sont en train d’être posés. Un troisième cas, c’est l’autofinancement que nous ne pouvons pas pour le moment réaliser», a diagnostiqué Zarah Hyane Thiam, sur les ondes de la RFM.
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