L'inquiétude grandit parmi les marchands ambulants et les vendeurs à la sauvette établis aux abords du marché central de Kaffrine, suite à l'annonce d'opérations de déguerpissement imminentes. Ils ont interpellé les autorités locales, les exhortant à proposer un site alternatif avant le démarrage des opérations.
« Nous n'avons aucune autre alternative. Tout ce que nous avons, c'est ce que nous vendons ici. Nous n'avons que ça pour subvenir aux besoins de nos familles », a déclaré une vendeuse.
Elle a souligné la difficulté de leur métier, précisant que les hommes comme les femmes sont presque tous des soutiens de famille. « Si nous sommes déguerpis, ce sera extrêmement difficile car nous n'avons pas les moyens d'entretenir nos familles », a déploré le vendeuse sur les ondes de Iradio.
Loin de s'opposer au principe du déguerpissement, les commerçants demandent un accompagnement des autorités. « Depuis plusieurs années, nous sommes là. Nous travaillons pour subvenir aux besoins de nos familles. Les femmes que vous voyez ici entretiennent des familles entières », a martelé Djibril Diouf, un commerçant.
Il a précisé la nature de leur demande : « Nous ne refusons pas de partir d'ici, mais nous demandons au préalable qu'au moins on trouve un autre endroit. C'est tout ce que nous demandons, qu'ils nous trouvent un autre endroit pour continuer à travailler et subvenir aux besoins de nos familles ».
« Nous n'avons aucune autre alternative. Tout ce que nous avons, c'est ce que nous vendons ici. Nous n'avons que ça pour subvenir aux besoins de nos familles », a déclaré une vendeuse.
Elle a souligné la difficulté de leur métier, précisant que les hommes comme les femmes sont presque tous des soutiens de famille. « Si nous sommes déguerpis, ce sera extrêmement difficile car nous n'avons pas les moyens d'entretenir nos familles », a déploré le vendeuse sur les ondes de Iradio.
Loin de s'opposer au principe du déguerpissement, les commerçants demandent un accompagnement des autorités. « Depuis plusieurs années, nous sommes là. Nous travaillons pour subvenir aux besoins de nos familles. Les femmes que vous voyez ici entretiennent des familles entières », a martelé Djibril Diouf, un commerçant.
Il a précisé la nature de leur demande : « Nous ne refusons pas de partir d'ici, mais nous demandons au préalable qu'au moins on trouve un autre endroit. C'est tout ce que nous demandons, qu'ils nous trouvent un autre endroit pour continuer à travailler et subvenir aux besoins de nos familles ».
Autres articles
-
Bras de fer Médias-État : l'Appel envisage d’ester en justice pour réparation financière
-
Tivaouane : Seydi Gassama invite "l’Etat à arrêter les démolitions d’habitations" pouvant créer 500 sans abris
-
"Des milliards perdus, des promesses non tenues, incompétence", Ameth Diallo liste les gaffes de..
-
Saint-Louis : 96 migrants secourus au large par la Marine nationale
-
Kolda : 50 enfants bénéficient d’un camp de chirurgie pédiatrique au centre hospitalier régional





Bras de fer Médias-État : l'Appel envisage d’ester en justice pour réparation financière


