Limitation à deux mandats présidentiels, séparation des pouvoirs, respect du processus électoral et des droits de l'homme. «Nos combats sont les mêmes», signalent les membres l'Initiative panafricaine pour la défense de la démocratie (IPDD), présents ce jeudi 2 juin à Paris.
Et pour parvenir à ses objectifs, la plateforme, qui fédère des figures de l’opposition de plusieurs pays africains, a mis en place une stratégie commune. «C’est la sensibilisation de nos populations, c’est l’interpellation. Organiser des conférences de presse, organiser des rencontre, éduquer, informer, énumère Freddy Kita, coordonnateur de l’IPDD et secrétaire général de la Démocratie chrétienne, parti d'opposition en RDC. Nos amis du Burkina Faso sont arrivés aujourd’hui au pouvoir. Demain, ce sera la RDC et ainsi de suite. On ne crée pas un parti politique pour rester éternellement dans l’opposition. C’est pour conquérir le pouvoir. Donc c’est ça la stratégie commune qu’on a mise en place».
Une structure qui permet aussi de donner une voix plus forte à l'opposition, comme à Djibouti. C'est ce que souligne Daher Ahmed Farah, président du Mouvement pour le renouveau démocratique et le développement (MRD), principal parti d'opposition dans le pays : «Savoir que ce parti appartient à une instance telle que l’IPDD n’est pas sans effet. La perception par le régime djiboutien de l’état de l’opposition, si j’ose dire, parce que le silence, le huis-clos, fait partie des choses qui nous font tant mal». Lors de sa création il y a un an et demi, l'IPDD comptait huit pays, elle en dénombre seize aujourd'hui.
Source: Rfi.fr
Et pour parvenir à ses objectifs, la plateforme, qui fédère des figures de l’opposition de plusieurs pays africains, a mis en place une stratégie commune. «C’est la sensibilisation de nos populations, c’est l’interpellation. Organiser des conférences de presse, organiser des rencontre, éduquer, informer, énumère Freddy Kita, coordonnateur de l’IPDD et secrétaire général de la Démocratie chrétienne, parti d'opposition en RDC. Nos amis du Burkina Faso sont arrivés aujourd’hui au pouvoir. Demain, ce sera la RDC et ainsi de suite. On ne crée pas un parti politique pour rester éternellement dans l’opposition. C’est pour conquérir le pouvoir. Donc c’est ça la stratégie commune qu’on a mise en place».
Une structure qui permet aussi de donner une voix plus forte à l'opposition, comme à Djibouti. C'est ce que souligne Daher Ahmed Farah, président du Mouvement pour le renouveau démocratique et le développement (MRD), principal parti d'opposition dans le pays : «Savoir que ce parti appartient à une instance telle que l’IPDD n’est pas sans effet. La perception par le régime djiboutien de l’état de l’opposition, si j’ose dire, parce que le silence, le huis-clos, fait partie des choses qui nous font tant mal». Lors de sa création il y a un an et demi, l'IPDD comptait huit pays, elle en dénombre seize aujourd'hui.
Source: Rfi.fr
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