L’entrée en vigueur du permis à point au second semestre de cette année et l’interdiction du transport interurbain à partir de 22 heures. Telles sont les nouvelles mesures prises par le ministre des Transports terrestres, Abdoulaye Daouda Diallo, pour lutter contre les nombreux accidents de la route.
Des mesures qui n’adhèrent pas le regroupement des transporteurs de proximité et les transporteurs de Kaolack. Pour eux, ce n’est pas la bonne solution. Ils informent qu’il faut avant tout des concertations entre les différentes parties avant de prendre une décision finale.
Selon président du regroupement des transporteurs de Koalack : «Pour l’arrêt du transport à 22 heures, lorsque le ministre est arrivé à la tête du ministère, il avait convoqué les chauffeurs et on en avait parlé. Ce qu’on s’était dit, ce n’est pas l’application de l’arrêt des transports en commun à 22 heures parce qu’on n’était pas d’accord sur le principe».
Pape Babacar Ndour d'informer que : «Ce qu’on avait tiré comme conclusion, c’était d’aller nous concerter nous les transporteurs d’abord et qu’il va nous convoquer à nouveau pour qu’une solution soit trouvée. Il n’y a pas encore cette convocation».
Par ailleurs, concernant les permis à point, a-t-il ajouté, «le Sénégal n’est pas encore prêt parce que les routes ne le permettent pas, le parc automobile est trop vieux. Il n’est pas encore temps pour cette nouvelle mesure ».
Pour ces professionnels de la route la meilleure façon de lutter contre ces accidents c’est de sanctionner les chauffeurs, de continuer à sensibiliser. «Il faut des préalables comme par exemple, des concertations entre les différentes parties car la question des accidents interpelle en premier les chauffeurs », ont-ils lancé.
Des mesures qui n’adhèrent pas le regroupement des transporteurs de proximité et les transporteurs de Kaolack. Pour eux, ce n’est pas la bonne solution. Ils informent qu’il faut avant tout des concertations entre les différentes parties avant de prendre une décision finale.
Selon président du regroupement des transporteurs de Koalack : «Pour l’arrêt du transport à 22 heures, lorsque le ministre est arrivé à la tête du ministère, il avait convoqué les chauffeurs et on en avait parlé. Ce qu’on s’était dit, ce n’est pas l’application de l’arrêt des transports en commun à 22 heures parce qu’on n’était pas d’accord sur le principe».
Pape Babacar Ndour d'informer que : «Ce qu’on avait tiré comme conclusion, c’était d’aller nous concerter nous les transporteurs d’abord et qu’il va nous convoquer à nouveau pour qu’une solution soit trouvée. Il n’y a pas encore cette convocation».
Par ailleurs, concernant les permis à point, a-t-il ajouté, «le Sénégal n’est pas encore prêt parce que les routes ne le permettent pas, le parc automobile est trop vieux. Il n’est pas encore temps pour cette nouvelle mesure ».
Pour ces professionnels de la route la meilleure façon de lutter contre ces accidents c’est de sanctionner les chauffeurs, de continuer à sensibiliser. «Il faut des préalables comme par exemple, des concertations entre les différentes parties car la question des accidents interpelle en premier les chauffeurs », ont-ils lancé.
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