Privé de liberté depuis plusieurs mois, Imam Alioune Ndao est toujours dans l’attente pour jugement. Une situation que ces parents et amis déplorent vigoureusement. «Dans quel pays sommes-nous, dans quel Etat. Il est temps que les autorités s’occupent de son affaire. Il faillait au moins l'édifié sur son sort. On doit le libérer pour qu’il retourne faire son travail».
En dépit des dures conditions de détentions et des allégations portées à son encontre, famille et disciples d’Imam Ndao continuent de clamer son innocence. « Sur son arrestation d’abord, seul les membres de sa famille sont autorisés à aller lui rendre visite. On ne sait pas pourquoi. On l’accuse de terroriste, mais jusqu’à présent, il n’y a aucune preuve palpable. Ce que nous déplorons, c’est le fait de l’arrêter pendant deux voir quatre mois sans pour autant édifier ceux qui sont proche de lui. Il n’a rien fait, fulminent ces derniers.
Il faut rappeler qu’Imam Aliou Badara Ndao a été arrêté à Kaolack dans la nuit du 26 au 27 octobre 2015. La justice Sénégalais lui reproche de faire dans ses sermons, l’apologie du terrorisme, et de collaborer avec les jihadistes.
En dépit des dures conditions de détentions et des allégations portées à son encontre, famille et disciples d’Imam Ndao continuent de clamer son innocence. « Sur son arrestation d’abord, seul les membres de sa famille sont autorisés à aller lui rendre visite. On ne sait pas pourquoi. On l’accuse de terroriste, mais jusqu’à présent, il n’y a aucune preuve palpable. Ce que nous déplorons, c’est le fait de l’arrêter pendant deux voir quatre mois sans pour autant édifier ceux qui sont proche de lui. Il n’a rien fait, fulminent ces derniers.
Il faut rappeler qu’Imam Aliou Badara Ndao a été arrêté à Kaolack dans la nuit du 26 au 27 octobre 2015. La justice Sénégalais lui reproche de faire dans ses sermons, l’apologie du terrorisme, et de collaborer avec les jihadistes.
Autres articles
-
"Le niveau des salaires, du minimum règlementaire à l'aspect négocié" par Amadou NIANG, Contrôleur du Travail et de la Sécurité sociale (Direction générale du Travail et de la Sécurité sociale)
-
Secteur agricole et alimentaire : "Notre pays importe, chaque année, plus de 1070 milliards francs CFA en denrées alimentaires" (Mabouba Diagne)
-
Agriculture et Élevage : "Nous avons apprécié la baisse des engrais à 22% comparée aux années passées" (Nadjirou Sall)
-
Pèlerinage Popenguine 2024 : la Senelec décaisse 500 millions de Fcfa.
-
Mbeubeus : Balla Moussa Fofana déterminé à mettre un terme à la présence des enfants sur les lieux de décharge