La Cellule nationale de traitement des informations financières a publié son rapport annuel 2015. Elle a reçu durant la période 164 déclarations d’opération suspectes, soit une progression de 19 unités en comparaison avec le volume de l’année précédente (145). Ces déclarations proviennent majoritairement des banques qui ont transmis 141 signalements. Les autres émanent des systèmes financiers décentralisés (4), des services financiers postaux (15) et des notaires (4).
En 2015, deux (2) déclarations ont été transmises à la CENTIF par des structures assujetties pour des soupçons de financement du terrorisme. Cependant, selon le rapport, l’état actuel des investigations ne permet pas de confirmer les doutes exprimés quant à une relation éventuelle entre les personnes impliquées dans ces transactions de groupes ou organisations terroristes.
Après examen par la commission ad-hoc composée des six membres de la CENTIF, les dossiers ont connu divers sorts. « 16 dossiers dans lesquels des indices de blanchiment de capitaux ont été décelés et ont fait l’objet d’un rapport adressé au procureur de la République près du tribunal de Grande instance hors classe de Dakar. 49 dossiers ont fait l’objet de classement, en l’absence d’éléments permettant de confirmer les soupçons ayant motivé la saisine de la CENTIF », lit-on dans le document qui renseigne que les investigations se poursuivent en ce qui concerne les quatre cas résiduels.
Toutefois, au cours de ladite année, le doyen des juges d’instruction a pris une ordonnance portant modification de garde et désignation d’un nouveau gardien en exécution de laquelle une somme globale de 1,312 milliard de F CFA, objet de déclaration de soupçons traitées par la CENTIF, a été transférée dans une banque sénégalaise vers la Caisse de Dépôt et de Consignation, précise "Libération".
En 2015, deux (2) déclarations ont été transmises à la CENTIF par des structures assujetties pour des soupçons de financement du terrorisme. Cependant, selon le rapport, l’état actuel des investigations ne permet pas de confirmer les doutes exprimés quant à une relation éventuelle entre les personnes impliquées dans ces transactions de groupes ou organisations terroristes.
Après examen par la commission ad-hoc composée des six membres de la CENTIF, les dossiers ont connu divers sorts. « 16 dossiers dans lesquels des indices de blanchiment de capitaux ont été décelés et ont fait l’objet d’un rapport adressé au procureur de la République près du tribunal de Grande instance hors classe de Dakar. 49 dossiers ont fait l’objet de classement, en l’absence d’éléments permettant de confirmer les soupçons ayant motivé la saisine de la CENTIF », lit-on dans le document qui renseigne que les investigations se poursuivent en ce qui concerne les quatre cas résiduels.
Toutefois, au cours de ladite année, le doyen des juges d’instruction a pris une ordonnance portant modification de garde et désignation d’un nouveau gardien en exécution de laquelle une somme globale de 1,312 milliard de F CFA, objet de déclaration de soupçons traitées par la CENTIF, a été transférée dans une banque sénégalaise vers la Caisse de Dépôt et de Consignation, précise "Libération".
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