Alors que le procureur demandait cinq ans de travaux forcés, ils ont décidé de condamner à dix ans de travaux forcés six des sept jeunes mis en cause dans cette affaire de viol collectif.
Un des mis en cause, considéré comme le chef de la bande, et qui s’est évadé de la maison d’arrêt le 13 juin 2016, est condamné à la même peine. Il se trouve désormais sous le coup d’un mandat d’arrêt. Un autre mis en cause, qui n’est pas directement impliqué dans le viol, est lui condamné à un an de prison ferme.
Mais le procès de cette affaire qui a secoué le Tchad en début d’année n’a pas tenu toutes ses promesses. Il a eu lieu en l’absence de la jeune femme qui se trouve en France depuis plusieurs semaines, mais aussi de ses avocats qui ont préféré laisser tomber le dossier.
Le procès de ce jeudi a donc rendu ses conclusions par défaut.
Rfi.fr
Un des mis en cause, considéré comme le chef de la bande, et qui s’est évadé de la maison d’arrêt le 13 juin 2016, est condamné à la même peine. Il se trouve désormais sous le coup d’un mandat d’arrêt. Un autre mis en cause, qui n’est pas directement impliqué dans le viol, est lui condamné à un an de prison ferme.
Mais le procès de cette affaire qui a secoué le Tchad en début d’année n’a pas tenu toutes ses promesses. Il a eu lieu en l’absence de la jeune femme qui se trouve en France depuis plusieurs semaines, mais aussi de ses avocats qui ont préféré laisser tomber le dossier.
Le procès de ce jeudi a donc rendu ses conclusions par défaut.
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