Les populations de Simal, village situé à 3 km de Fimela, souffrent de son enclavement. Aainsi ils s’insurgent contre l’indifférence de l’Etat face à leur situation. Selon eux, les deux seules voies d’accès du village sont impraticables.
Pour exprimer leur ras-le-bol, les populations de Simal ont battu le macadam afin d’attirer les autorités sur la précarité qui sévit dans cette presqu'île. Ainsi, le porte-parole du jour Birama Faye a révélé qu’il n’existe que deux axes pour désenclaver ce village
«Nous avons d’énormes problèmes dans ce village. Il n’existe que deux axes pour désenclaver ce village. Il y a beaucoup de disparités dans cette localité. Des pistes ont été réalisées dans cette commune, alors que Simal constitue la priorité de cette commune», a-t-il dit.
Le village de Simal, estime-t-il, assure la première production agricole de la commune. Le village, renseigne-t-il, accueille au moins 1000 visiteurs par semaines de par ses lieux touristiques et de par ses sites culturels.
« Nous avons des problèmes pour accueillir nos malades. Le Pudc et autres n’est qu’une illusion pour nous. Cela ne fait que faire rêver la population », a soutenu le porte-parole.
Ainsi, ils menacent de voter contre l’actuel président Macky Sall si rien n’ait fait d’ici la présidentielle de 2019.
Pour exprimer leur ras-le-bol, les populations de Simal ont battu le macadam afin d’attirer les autorités sur la précarité qui sévit dans cette presqu'île. Ainsi, le porte-parole du jour Birama Faye a révélé qu’il n’existe que deux axes pour désenclaver ce village
«Nous avons d’énormes problèmes dans ce village. Il n’existe que deux axes pour désenclaver ce village. Il y a beaucoup de disparités dans cette localité. Des pistes ont été réalisées dans cette commune, alors que Simal constitue la priorité de cette commune», a-t-il dit.
Le village de Simal, estime-t-il, assure la première production agricole de la commune. Le village, renseigne-t-il, accueille au moins 1000 visiteurs par semaines de par ses lieux touristiques et de par ses sites culturels.
« Nous avons des problèmes pour accueillir nos malades. Le Pudc et autres n’est qu’une illusion pour nous. Cela ne fait que faire rêver la population », a soutenu le porte-parole.
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