«Au niveau de la commune, nous sommes un peu désenchanté. A chaque fois, il y a en épouvantail l’acte 3 de la Décentralisation». Ce cri de détresse est du maire de Cambérène, Mame Abdou Samb qui fustigeait l’acte 3 de la Décentralisation, ainsi que sa répercussion négative sur l’organisation des cérémonies religieuses organisées dans cette localité.
Et l’édile de Cambérène de poursuivre : «Nous avions fait des mandats pour pouvoir distribuer cela aux familles religieuses, prendre en charge les dahiras, mettre dans de très bonnes conditions les invités, mais malheureusement, nos mandats ne sont pas pris en charge sous réserve que nous sommes endettés et qu’on n’a pas de moyens».
M. Samb qui considère que c’est anormal crie son désarroi : «C’est dramatique parce qu’une commune comme Cambérène à dominante religieuse, sinon totalement religieuse qui abrite un évènement majeur de cette trempe et qu’on puisse nous brandir que nous n’avons pas de moyens et par conséquent, on ne peut rien nous donner, c’est scandaleux».
De son avis, seules les autorités étatiques peuvent résoudre les problèmes liés à cette loi : «J’en appelle aux autorités ; l’année passée c’était pareil et cette année, on nous joue le même refrain. Cela suffit. Il faut que l’Etat, à travers la perception de Bourguiba, sache que Cambérène n’a pas de moyens et que le Fonds de dotation de l’Etat n’est pas encore arrivé».
Et l’édile de Cambérène de poursuivre : «Nous avions fait des mandats pour pouvoir distribuer cela aux familles religieuses, prendre en charge les dahiras, mettre dans de très bonnes conditions les invités, mais malheureusement, nos mandats ne sont pas pris en charge sous réserve que nous sommes endettés et qu’on n’a pas de moyens».
M. Samb qui considère que c’est anormal crie son désarroi : «C’est dramatique parce qu’une commune comme Cambérène à dominante religieuse, sinon totalement religieuse qui abrite un évènement majeur de cette trempe et qu’on puisse nous brandir que nous n’avons pas de moyens et par conséquent, on ne peut rien nous donner, c’est scandaleux».
De son avis, seules les autorités étatiques peuvent résoudre les problèmes liés à cette loi : «J’en appelle aux autorités ; l’année passée c’était pareil et cette année, on nous joue le même refrain. Cela suffit. Il faut que l’Etat, à travers la perception de Bourguiba, sache que Cambérène n’a pas de moyens et que le Fonds de dotation de l’Etat n’est pas encore arrivé».
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