Le Comité national de l’Initiative pour la Transparence dans les Industries Extractives (CN-ITIE) a publié son quatrième numéro de bulletin « LE POINT ITIE ». Une occasion pour les participants de revenir sur les évolutions des productions et exportations des ressources extractives, l’impact de la crise sanitaire sur la volatilité des cours des matières premières, notamment l’or et le pétrole.
Egalement sur "les évolutions technologiques dans le secteur de l’industrie minière avec les pratiques liées à l’automatisation et à la robotisation sont passées au peigne fin en analysant les menaces et opportunités liées auxdites technologies par rapport au contexte des pays pauvres tels que les nôtres",
Par ailleurs, note le 4e Point ITIE, "malgré la pandémie de la COVID-19, les mines automatisées ont continué à fonctionner. Mais, les experts prédisent que la pandémie pourrait accélérer le rythme d’adoption de nouvelles technologies. Même si, la complexité de l’industrie, le coût des technologies, les différences en matière de capacité de fonctionnement des robots dans divers environnements, et la probable réticence des investisseurs à l’égard de changements significatifs dans les modèles opérationnels, seront des facteurs tout aussi déterminants".
Mais, toute technologie nouvelle apporte le changement au sein des mines et communautés, et exige une gestion adéquate des stratégies de changement.
Selon Aron Cosbey de Intergovernmental Forum on Mining, Minerals, Metals and Sustainable Development (IGF) : « Certaines nouvelles technologies, comme l'automatisation et les drones, remplaceront la main-d'œuvre. D'autres, comme l'intelligence artificielle, l'Internet des objets, les capteurs intelligents et l'apprentissage automatique, augmenteront la productivité sans perte d'emplois significative. La même technologie aura des impacts différents dans différents contextes. Par exemple, des économies plus diversifiées ressentiront les impacts sur le travail moins sévèrement, et certaines technologies seront déployées à des rythmes différents dans différents contextes ».
Selon le communiqué de la structure étatique parvenu à PressAfrik, le problème fondamental qui risque de survenir pour beaucoup de pays pauvres, est que même si de nouveaux emplois hautement qualifiés sont créés, les travailleurs issus des communautés voisines seront mis au défi de pourvoir les postes.
Par ailleurs, souligne le Comité national de l’Initiative pour la Transparence dans les Industries Extractives (CN-ITIE) "la modélisation financière des projets extractifs qui est un moyen essentiel pour les États afin de mettre en place un système fiscal qui permette un juste partage des richesses extraites, dès la première production, vu le caractère non renouvelable de ces ressources, a fait une nouvelle fois fait l’objet de réflexion dans le présent bulletin."
Egalement sur "les évolutions technologiques dans le secteur de l’industrie minière avec les pratiques liées à l’automatisation et à la robotisation sont passées au peigne fin en analysant les menaces et opportunités liées auxdites technologies par rapport au contexte des pays pauvres tels que les nôtres",
Par ailleurs, note le 4e Point ITIE, "malgré la pandémie de la COVID-19, les mines automatisées ont continué à fonctionner. Mais, les experts prédisent que la pandémie pourrait accélérer le rythme d’adoption de nouvelles technologies. Même si, la complexité de l’industrie, le coût des technologies, les différences en matière de capacité de fonctionnement des robots dans divers environnements, et la probable réticence des investisseurs à l’égard de changements significatifs dans les modèles opérationnels, seront des facteurs tout aussi déterminants".
Mais, toute technologie nouvelle apporte le changement au sein des mines et communautés, et exige une gestion adéquate des stratégies de changement.
Selon Aron Cosbey de Intergovernmental Forum on Mining, Minerals, Metals and Sustainable Development (IGF) : « Certaines nouvelles technologies, comme l'automatisation et les drones, remplaceront la main-d'œuvre. D'autres, comme l'intelligence artificielle, l'Internet des objets, les capteurs intelligents et l'apprentissage automatique, augmenteront la productivité sans perte d'emplois significative. La même technologie aura des impacts différents dans différents contextes. Par exemple, des économies plus diversifiées ressentiront les impacts sur le travail moins sévèrement, et certaines technologies seront déployées à des rythmes différents dans différents contextes ».
Selon le communiqué de la structure étatique parvenu à PressAfrik, le problème fondamental qui risque de survenir pour beaucoup de pays pauvres, est que même si de nouveaux emplois hautement qualifiés sont créés, les travailleurs issus des communautés voisines seront mis au défi de pourvoir les postes.
Par ailleurs, souligne le Comité national de l’Initiative pour la Transparence dans les Industries Extractives (CN-ITIE) "la modélisation financière des projets extractifs qui est un moyen essentiel pour les États afin de mettre en place un système fiscal qui permette un juste partage des richesses extraites, dès la première production, vu le caractère non renouvelable de ces ressources, a fait une nouvelle fois fait l’objet de réflexion dans le présent bulletin."
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