Venu présider la rencontre, Karim Cissé, Directeur général du travail et de la sécurité sociale a révélé, qu’en 2016, le Sénégal a enregistré 1904 cas d’accidents de travail contre 1906 en 2015. A l’en croire malgré cette tendance baissière, les différentes acteurs partages les mêmes faiblesses relatives à la mise en œuvre des politiques publiques de la réglementation et l’insuffisante appropriation de la culture et du réflexe de sécurité.
Pourtant, d’après ses explications, le Sénégal, à l’issue d’une approche inclusive et participative, a épuisé le long parcours de validation technique et politique nationale de sécurité et santé au travail.
M. Cissé, dans les colonnes du journal «Libération», a spécifié que cette politique a pour objectif général le renforcement du capital humain en milieu de travail. Ce, par la prévention, des risques professionnels à travers une gestion efficace des accidents et des atteintes à la santé des travailleurs et travailleuses dans tous les secteurs d’activités.
Sur ces entrefaites, Karim Cissé admet que c’est un grand pas, avant de préciser que c’est la bataille qui a été gagnée mais pas la guerre. Par conséquent, il estime que l’accent doit être mis sur le pragmatisme dans l’action, la présence régulière dans l’entreprise et le développement au quotidien de la culture de sécurité.
Pourtant, d’après ses explications, le Sénégal, à l’issue d’une approche inclusive et participative, a épuisé le long parcours de validation technique et politique nationale de sécurité et santé au travail.
M. Cissé, dans les colonnes du journal «Libération», a spécifié que cette politique a pour objectif général le renforcement du capital humain en milieu de travail. Ce, par la prévention, des risques professionnels à travers une gestion efficace des accidents et des atteintes à la santé des travailleurs et travailleuses dans tous les secteurs d’activités.
Sur ces entrefaites, Karim Cissé admet que c’est un grand pas, avant de préciser que c’est la bataille qui a été gagnée mais pas la guerre. Par conséquent, il estime que l’accent doit être mis sur le pragmatisme dans l’action, la présence régulière dans l’entreprise et le développement au quotidien de la culture de sécurité.
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