Les camarades de Macky Sall ont déclaré ce lundi 21 mars 2011 que l’accusation de tentative de coup d’Etat par de jeunes étudiants témoigne, si besoin en était, de la panique qui s’empare du pouvoir.
Selon Seydou Guèye et ses camarades, qui animaient un point de presse ce matin, le pouvoir, désespéré, use de l’arme ultime et favorite de tous les pouvoirs en fin de règne. Il s’agit selon Seydou Guèye de la «violence institutionnelle, instrumentale et directe.
Il a expliqué que dans la spirale des violences enclenchées par le pouvoir, une place de choix est, manifestement, accordée à l’APR à travers des accusations fallacieuses, des agressions physiques, des guets-apens, des coups de feu et des braquages.Selon les «républicains», le pouvoir «s’active à faire de la violence d’Etat, son arme exclusive» contre leur parti parce qu’il a compris que Macky Sall avait définitivement tourné la page d’un parti «qui a trahi» ses options fondatrices et les attentes des populations.
Pour étayer ses propos, Seydou Guèye a développé qu’à Pikine (banlieue de Dakar) et dans de nombreuses autres zones du pays, des nervis et autres «mercenaires politiques» d’un nouveau genre «payés au prix fort, furent mobilisés dans la claire volonté d’intimider et de décourager les «milliers de Sénégalais convaincus par le discours et les orientations de l’Apr».
Selon Seydou Guèye et ses camarades, qui animaient un point de presse ce matin, le pouvoir, désespéré, use de l’arme ultime et favorite de tous les pouvoirs en fin de règne. Il s’agit selon Seydou Guèye de la «violence institutionnelle, instrumentale et directe.
Il a expliqué que dans la spirale des violences enclenchées par le pouvoir, une place de choix est, manifestement, accordée à l’APR à travers des accusations fallacieuses, des agressions physiques, des guets-apens, des coups de feu et des braquages.Selon les «républicains», le pouvoir «s’active à faire de la violence d’Etat, son arme exclusive» contre leur parti parce qu’il a compris que Macky Sall avait définitivement tourné la page d’un parti «qui a trahi» ses options fondatrices et les attentes des populations.
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