
Alioune Tine et ses camarades appellent les autorités congolaises à assurer un procès juste et équitable pour les acteurs impliqués dans l’affaire visant l’assassinat de Floribert Chebeya, un défenseur congolais des droits humains, et la disparition de Fidèle Bazana Edadi, membre de l’organisation dont le premier était le responsable.
Selon la RADDHO, «des preuves matérielles existent, notamment un témoignage, attestant le contraire. Ce qui fait que le général Numbi Tambo devrait comparaître en tant que prévenu dans cette affaire».
Par ailleurs, M. Tine et ses camarades condamnent «les multiples harcèlements» perpétrés par les éléments des forces de l’ordre sur les défenseurs des droits de l’Homme, les avocats et les témoins depuis le début de la procédure.
Ils disent «prendre acte» de l’appel à comparaître du général John Numbi Tambo, inspecteur général de la Police nationale congolaise, mais dénonce sa comparution en tant que témoin et non comme prévenu alors que la plupart des témoignages le citent comme principal responsable.
A noter que MM. Chebeya Bazire et Bazana Edadi avaient disparu le 1er juin 2010 au moment de rencontrer le général John Numbi Banza Tambo, l’inspecteur général de la Police nationale congolaise dont les représentants ont toujours nié avoir reçu la visite des deux hommes.
Selon la RADDHO, «des preuves matérielles existent, notamment un témoignage, attestant le contraire. Ce qui fait que le général Numbi Tambo devrait comparaître en tant que prévenu dans cette affaire».
Par ailleurs, M. Tine et ses camarades condamnent «les multiples harcèlements» perpétrés par les éléments des forces de l’ordre sur les défenseurs des droits de l’Homme, les avocats et les témoins depuis le début de la procédure.
Ils disent «prendre acte» de l’appel à comparaître du général John Numbi Tambo, inspecteur général de la Police nationale congolaise, mais dénonce sa comparution en tant que témoin et non comme prévenu alors que la plupart des témoignages le citent comme principal responsable.
A noter que MM. Chebeya Bazire et Bazana Edadi avaient disparu le 1er juin 2010 au moment de rencontrer le général John Numbi Banza Tambo, l’inspecteur général de la Police nationale congolaise dont les représentants ont toujours nié avoir reçu la visite des deux hommes.
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