Dame Amar et sa bande sont libres. Arrêtés en avril dernier, suite à la mort « par overdose » de la jeune fille Hiba Thiam, dans un appartement aux Almadies, en plein couvre-feu, le fils du milliardaire feu Ameth Amar et ses 7 co-prévenus ont bénéficié d’une liberté provisoire, en attendant le délibéré fixé au 27 janvier prochain.
Lors du procès tenu mercredi, le juge de la chambre Correctionnelle ne s’est pas opposé, comme ce fut le cas ces derniers mois, à cette requête formulée par les avocats de la défense. Selon lui, « Il n’y a pas trouble à l’ordre public ».
Le pool d’avocats des prévenus, a plaidé la relaxe pure et simple. Car, estimant qu’il n’y a, dans ce dossier, aucune charge attestant la culpabilité de leurs clients.
Pour rappel, dans son réquisitoire, le maître des poursuites a demandé 8 mois de prison ferme contre Dame Amar et sa bande. Déclarant que ces derniers étaient tous coupables des faits d’association de malfaiteurs, de tentative d’extorsion, de détention de drogue en vue de la consommation personnelle, de violation de la loi sur le couvre-feu et de non-assistance à une personne en danger car « leur rencontre n’était pas fortuite ».
A noter que si le juge poursuit le réquisitoire du ministère public, les fils à papa seront totalement libres car ils ont passé 10 mois en détention provisoire.
Lors du procès tenu mercredi, le juge de la chambre Correctionnelle ne s’est pas opposé, comme ce fut le cas ces derniers mois, à cette requête formulée par les avocats de la défense. Selon lui, « Il n’y a pas trouble à l’ordre public ».
Le pool d’avocats des prévenus, a plaidé la relaxe pure et simple. Car, estimant qu’il n’y a, dans ce dossier, aucune charge attestant la culpabilité de leurs clients.
Pour rappel, dans son réquisitoire, le maître des poursuites a demandé 8 mois de prison ferme contre Dame Amar et sa bande. Déclarant que ces derniers étaient tous coupables des faits d’association de malfaiteurs, de tentative d’extorsion, de détention de drogue en vue de la consommation personnelle, de violation de la loi sur le couvre-feu et de non-assistance à une personne en danger car « leur rencontre n’était pas fortuite ».
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