Le président de l'assemblée nationale a donné son accord aux enquêteurs travaillant sur l'affaire Penelope Fillon pour qu'ils pénètrent à l'intérieur du Palais Bourbon. Ils sont notamment venus chercher des fiches de paie manquantes de Pénélope Fillon.
L'enquête se poursuit. Des policiers sont actuellement à l'Assemblée nationale pour se faire remettre des documents dans le cadre des investigations sur l'emploi présumé fictif d'attachée parlementaire occupé par Penelope Fillon pendant plusieurs années, a appris BFMTV. Ils sont notamment venus chercher des fiches de paie manquantes de Pénélope Fillon, notamment celles de la période où elle était employée par le suppléant Marc Joulaud.
Le président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone, a donné son accord pour laisser entrer les enquêteurs de l'Office central contre la corruption et les infractions financières et fiscales qui sont à la recherche d'éléments attestant de la réalité du travail effectué par l'épouse de l'ancien Premier ministre. Les enquêteurs qui cherchent encore des éléments matériels, ont constaté que Penelope Fillon n’avait aucun badge à l’Assemblée nationale, aucune adresse mail à l’Assemblée. Elle n'avait pas plus de permanence dans la Sarthe. Selon l'avocat de François Fillon cette dernière était localisée à leur domicile.
En clair, selon nos informations, à ce stade de l’enquête, il n'y a aucune preuve matérielle de la réalité du poste d'attachée parlementaire occupée par Penelope Fillon.
La nouvelle s'est répandue très rapidement dans les couloirs de l'Assemblée nationale. C'est la stupeur du côté des attachés parlementaires, rapporte le journaliste de BFMTV Jérémy Brossard, alors que l'intrusion de la police dans les locaux de l'Assemblée nationale est un événement rarissime. Sous la Ve République, des perquisitions ont été réalisées seulement six fois dans ce lieu de pouvoir.
S'il était impossible de croiser un élu Les Républicains à la salle des Quatre colonnes, lieu habituel de rencontres au Palais Bourbon où les journalistes peuvent se rendre, Christian Jacob, leur président de groupe a fait une déclaration succincte lors du point presse hebdomadaire assurant que les élus faisaient "bloc" derrière le candidat à la présidentielle. "Il a le soutien unanime des députés", a-t-il insisté.
L'enquête se poursuit. Des policiers sont actuellement à l'Assemblée nationale pour se faire remettre des documents dans le cadre des investigations sur l'emploi présumé fictif d'attachée parlementaire occupé par Penelope Fillon pendant plusieurs années, a appris BFMTV. Ils sont notamment venus chercher des fiches de paie manquantes de Pénélope Fillon, notamment celles de la période où elle était employée par le suppléant Marc Joulaud.
Le président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone, a donné son accord pour laisser entrer les enquêteurs de l'Office central contre la corruption et les infractions financières et fiscales qui sont à la recherche d'éléments attestant de la réalité du travail effectué par l'épouse de l'ancien Premier ministre. Les enquêteurs qui cherchent encore des éléments matériels, ont constaté que Penelope Fillon n’avait aucun badge à l’Assemblée nationale, aucune adresse mail à l’Assemblée. Elle n'avait pas plus de permanence dans la Sarthe. Selon l'avocat de François Fillon cette dernière était localisée à leur domicile.
En clair, selon nos informations, à ce stade de l’enquête, il n'y a aucune preuve matérielle de la réalité du poste d'attachée parlementaire occupée par Penelope Fillon.
La nouvelle s'est répandue très rapidement dans les couloirs de l'Assemblée nationale. C'est la stupeur du côté des attachés parlementaires, rapporte le journaliste de BFMTV Jérémy Brossard, alors que l'intrusion de la police dans les locaux de l'Assemblée nationale est un événement rarissime. Sous la Ve République, des perquisitions ont été réalisées seulement six fois dans ce lieu de pouvoir.
S'il était impossible de croiser un élu Les Républicains à la salle des Quatre colonnes, lieu habituel de rencontres au Palais Bourbon où les journalistes peuvent se rendre, Christian Jacob, leur président de groupe a fait une déclaration succincte lors du point presse hebdomadaire assurant que les élus faisaient "bloc" derrière le candidat à la présidentielle. "Il a le soutien unanime des députés", a-t-il insisté.
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