« Je ne voudrais être nulle part ailleurs qu’ici avec les meilleurs soldats de la planète pour fêter Thanksgiving », jure Donald Trump. En pleine campagne, le président américain foule le sol afghan pour la première fois depuis son entrée en fonction en janvier 2017. Une visite symbolique pour les 13000 soldats américains déployés en Afghanistan, dans le plus long conflit de l'histoire des Etats-Unis.
Devant 1 500 militaires réunis sous un hangar de la base aérienne de Bagram, il a remercié ses soldats ainsi que les troupes afghanes pour leur engagement et annoncé la reprise des pourparlers avec les talibans, aux côtés du président afghan, également sur l'estrade. Des discussions interrompues en septembre, depuis son annulation au dernier moment d’une rencontre à Camp David.
« Les talibans veulent un accord, on verra s’ils veulent vraiment un accord, dit Donald Trump. Nous leur avons dit qu’il fallait un cessez-le-feu, ils n’en voulaient pas, mais je crois que maintenant ils veulent un cessez-le-feu. »
Une visite rapide de nuit et secrète, rendue publique uniquement après son redécollage. « Il faut une solution politique », explique le président américain quelques jours après un échange entre deux otages occidentaux et trois chefs talibans. Le président confirme la réduction de 14 000 à 8 600 le nombre de soldats américains en Afghanistan après 18 ans de conflit.
« La guerre ne se décidera pas sur le champ de bataille », assure Donald Trump avant de repartir. Et d’ajouter : « Nous resterons tant que nous n’aurons pas d’accord ou jusqu’à la victoire totale ».
En Afghanistan, cette visite surprise est largement perçue comme la réaffirmation du soutien des Etats-Unis au gouvernement et aux troupes afghanes.
Devant 1 500 militaires réunis sous un hangar de la base aérienne de Bagram, il a remercié ses soldats ainsi que les troupes afghanes pour leur engagement et annoncé la reprise des pourparlers avec les talibans, aux côtés du président afghan, également sur l'estrade. Des discussions interrompues en septembre, depuis son annulation au dernier moment d’une rencontre à Camp David.
« Les talibans veulent un accord, on verra s’ils veulent vraiment un accord, dit Donald Trump. Nous leur avons dit qu’il fallait un cessez-le-feu, ils n’en voulaient pas, mais je crois que maintenant ils veulent un cessez-le-feu. »
Une visite rapide de nuit et secrète, rendue publique uniquement après son redécollage. « Il faut une solution politique », explique le président américain quelques jours après un échange entre deux otages occidentaux et trois chefs talibans. Le président confirme la réduction de 14 000 à 8 600 le nombre de soldats américains en Afghanistan après 18 ans de conflit.
« La guerre ne se décidera pas sur le champ de bataille », assure Donald Trump avant de repartir. Et d’ajouter : « Nous resterons tant que nous n’aurons pas d’accord ou jusqu’à la victoire totale ».
En Afghanistan, cette visite surprise est largement perçue comme la réaffirmation du soutien des Etats-Unis au gouvernement et aux troupes afghanes.
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