La juge a confirmé leur maintien en détention et a fixé la prochaine audience au 28 septembre 2017 pour laisser le temps aux policiers de compléter l'enquête.
Les membres de cette famille vivent dans la peur et attendent les résultats des tests ADN de la police.
Des membres et des organes ont été retrouvés dans la maison d'un des cinq suspects arrêtés pour cannibalisme et meurtre.
C'est ici que la police a retrouvé des membres et des organes humains.
C'est l'homme qui vivait ici qui s'est rendu à la police en assurant en avoir assez de manger de la chair humaine, montrant une main et une jambe aux inspecteurs qui l'interrogeaient.
Traces de sang
Pendant ce temps à l'extérieur, des centaines d'habitants étaient venus manifester.
Les habitants d'Estcourt, dans la province du Kwazulu-Natal affirment ne plus oser sortir la nuit, même pour chercher de l'eau.
C'est toute une communauté qui est en colère et sous le choc.
Sur les pancartes, on peut lire "non au cannibalisme" ou "Nous ne sommes pas des fast-foods".
D'autres manifestants demandent à ce que les suspects soient libérés pour qu'ils puissent faire justice eux-mêmes. Ils disent ne pas avoir confiance en la police et la justice et souhaitent voir mourir les suspects.
Les membres de cette famille vivent dans la peur et attendent les résultats des tests ADN de la police.
Des membres et des organes ont été retrouvés dans la maison d'un des cinq suspects arrêtés pour cannibalisme et meurtre.
C'est ici que la police a retrouvé des membres et des organes humains.
C'est l'homme qui vivait ici qui s'est rendu à la police en assurant en avoir assez de manger de la chair humaine, montrant une main et une jambe aux inspecteurs qui l'interrogeaient.
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Les habitants d'Estcourt, dans la province du Kwazulu-Natal affirment ne plus oser sortir la nuit, même pour chercher de l'eau.
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