
Docteur Ndèye Khady Fall, coordonnatrice du Projet d’appui à la résilience des filières agricoles (PARFA), a fait part de l’ambition de récupérer, cette année, quelque 800 hectares dans certaines parties de leurs zones d’intervention affectées par la salinisation des sols.
’’Nous avons pour objectif la récupération de 800 hectares de terres. Nous sommes sur 800 hectares cette année que nous voulons récupérer dans les régions de Fatick et Kaolack’’, a-t-elle confié dans un entretien avec l’APS, en marge de l’atelier de validation du cadre national d’investissement stratégique pour la gestion durable des terres au Sénégal, ouvert mercredi à Dakar.
L’atelier de deux jours (mercredi et jeudi) s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la composante 1 dénommée ’’Appui aux plateformes multipartites’’ du Projet d’appui à la résilience des filières agricoles (PARFA). Participent à cette rencontre organisée par l’Institut national de pédologie plusieurs experts, officiels et journalistes.
La rencontre est destinée à la validation du cadre national d’investissement stratégique pour la gestion durable des terres au Sénégal (CNIS-GDT) réactualisé et de l’étude de faisabilité de la mise en place d’un guichet financier sur la gestion durable des terres et des eaux (GDTE) /résilience au niveau du Fonds national de développement agro-sylvo-pastoral.
Interrogée sur le comportement des cultures dans ces zones d’intervention, Docteur Ndèye Khady Fall dit avoir constaté ’’un bon comportement’’ des cultures grâce à une ’’bonne pluviométrie’’.
’’Je suis allée sur le terrain, dans les régions de Fatick, Diourbel, de Kaolack, Kaffrine et de Louga (zone sylvopastorale). J’ai vu que les terres et les cultures se portent bien. Nous nous attendons à une bonne production si les pluies se poursuivent jusqu’à terme’’, a-t-elle souligné.
Elle a en outre indiqué que son projet a aussi assisté cet hivernage quelque 25000 ménages vulnérables en intrants agricoles pour une valeur de 610 millions CFA en vue de les encourager dans ce contexte de coronavirus.
’’Actuellement, dans ce contexte de coronavirus, on peut dire que l’impact est généralisé dans le monde. Ici, nous sommes à plus de 25000 ménages vulnérables appuyés dans ce contexte de Covid-19, en semences certifiées, en engrais pour les filières riz, mil, sorgho et niébé pour qu’ils puissent cultiver’’, a-t-elle fait part.
’’En ce qui concerne l’achat des semences et des engrais, nous pouvons évaluer cela à plus de 610 millions CFA’’, a-t-elle indiqué.
APS
’’Nous avons pour objectif la récupération de 800 hectares de terres. Nous sommes sur 800 hectares cette année que nous voulons récupérer dans les régions de Fatick et Kaolack’’, a-t-elle confié dans un entretien avec l’APS, en marge de l’atelier de validation du cadre national d’investissement stratégique pour la gestion durable des terres au Sénégal, ouvert mercredi à Dakar.
L’atelier de deux jours (mercredi et jeudi) s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la composante 1 dénommée ’’Appui aux plateformes multipartites’’ du Projet d’appui à la résilience des filières agricoles (PARFA). Participent à cette rencontre organisée par l’Institut national de pédologie plusieurs experts, officiels et journalistes.
La rencontre est destinée à la validation du cadre national d’investissement stratégique pour la gestion durable des terres au Sénégal (CNIS-GDT) réactualisé et de l’étude de faisabilité de la mise en place d’un guichet financier sur la gestion durable des terres et des eaux (GDTE) /résilience au niveau du Fonds national de développement agro-sylvo-pastoral.
Interrogée sur le comportement des cultures dans ces zones d’intervention, Docteur Ndèye Khady Fall dit avoir constaté ’’un bon comportement’’ des cultures grâce à une ’’bonne pluviométrie’’.
’’Je suis allée sur le terrain, dans les régions de Fatick, Diourbel, de Kaolack, Kaffrine et de Louga (zone sylvopastorale). J’ai vu que les terres et les cultures se portent bien. Nous nous attendons à une bonne production si les pluies se poursuivent jusqu’à terme’’, a-t-elle souligné.
Elle a en outre indiqué que son projet a aussi assisté cet hivernage quelque 25000 ménages vulnérables en intrants agricoles pour une valeur de 610 millions CFA en vue de les encourager dans ce contexte de coronavirus.
’’Actuellement, dans ce contexte de coronavirus, on peut dire que l’impact est généralisé dans le monde. Ici, nous sommes à plus de 25000 ménages vulnérables appuyés dans ce contexte de Covid-19, en semences certifiées, en engrais pour les filières riz, mil, sorgho et niébé pour qu’ils puissent cultiver’’, a-t-elle fait part.
’’En ce qui concerne l’achat des semences et des engrais, nous pouvons évaluer cela à plus de 610 millions CFA’’, a-t-elle indiqué.
APS
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